L’Ukraine a obtenu de l’UE des quotas d’exportation dans l’agriculture, indique l’agence « Rosbalt ». L’Ukraine a su enregistrer les résultats positifs sur les problèmes agraires aux pourparlers avec l’UE sur l’aménagement d’une zone de libre-échange. L’UE a consenti à offrir à l’Ukraine un quota sérieux d’importation des produits agricoles européens sans taxe douanière, a déclaré à l’issue du 18ème tour des pourparlers le ministre ukrainien de la politique agraire et des vivres Nikolaï Prissiajniouk. Le quota augmentera concernant plusieurs groupes de marchandises pendant cinq ans. Les joueurs au marché se montrent satisfaits tout en insistant sur un quota plus important pour plusieurs vivres, notamment le sucre. Un problème agraire reste en suspens : l’application par l’Ukraine des mesures de protection eu lieu des taxes d’exportation sur les graines de tournesol et le cuir.
Les autorités américaines et les leaders européens ont toujours insisté sur les « rapports réglés » de Tbilissi avec Moscou, a déclaré lundi l’ex-président de Géorgie Edouard Chevardnadzé cité par le journal « Vzgliad ». Il a déclaré dans une interview au journal « Assaval-dassavali » que l’Occident insistait sur une politique équilibrée de la Géorgie à l’égard de la Russie. Selon lui, la Géorgie ne saura rétablir l’intégrité territoriale sans régler les rapports avec la Russie. Une interview recueillie auprès d’Edouard Chevardnadzé a été publiée à la veille du 18ème anniversaire de la chute de la capitale abkhaze contrôlée pendant la guerre de 1992-1993 par les troupes du Conseil d’Etat de la Géorgie. La guerre s’est terminée trois jours après par la victoire des Abkhaz. Chevardnadzé attribue l’inaptitude de Mikhaïl Saakachvili à rétablir les rapports avec la Russie au manque d’expérience de l’actuel leader géorgien. « Il faut être fou pour refuser de rétablir l’intégrité territoriale », a dit l’ex-président.
L’agence Standard & Poor's a baissé la notation de la Biélorussie en termes de crédit, indique le journal « Vesti ». Le pronostic sur les notations est négatif. Cela est dû à la dépendance du pays du financement extérieur vu un déficit sérieux et un niveau très bas des réserves accessibles, est-il indiqué dans le bulletin de presse de l’agence. Standard & Poor's estime que les notations biélorusses sont limitées par les risques politiques, le déséquilibre dans la politique extérieure, monétaire et budgétaire. Le PIB élevé par habitant et une main d’œuvre hautement qualifiée influent positivement sur les notations de la Biélorussie. Ces facteurs permettent au gouvernement de réagir vite s’il est nécessaire d’éliminer les disbalances macro-économiques ou d’appliquer les réformes marco-économiques en vue de développer le secteur privé », est-il souligné dans le communiqué.