Le gouvernement français s’est mis d’accord avec des banques privées créancières de la Grèce au sujet d’une restructuration partielle des obligations grecques, a confirmé lundi le président français Nicolas Sarkozy, cité par l’agence Reuter.
La Grèce obtient un prêt de 110 milliards d’€ de l’UE et du FMI en échange d’un plan d’austérité budgétaire. Or l’aide déjà promise peut s’avérer insuffisante pour prévenir la faillite d’Athènes qui a une dette de 350 milliards.
M. Sarkozy a espéré que d’autres pays de l’UE suivent l’exemple de la France.