Les actifs gaziers susceptibles d'être privatisés en Grèce sont potentiellement intéressants pour Gazprom, a indiqué mercredi le vice-président du groupe, Alexandre Medvedev.
"Cela dépendra des conditions de privatisation et des actifs éligibles", a précisé le numéro 2 du géant russe.
Approuvé le 22 mai par le gouvernement grec, le programme de privatisations prévoit la vente d'actifs à hauteur de 50 milliards d'euros d'ici 2015. La Grèce compte d'alléger ainsi le fardeau de sa dette et remplir l'une des conditions principales pour bénéficier de crédits de soutien supplémentaires de la part de l'Union européenne et du Fonds monétaire international.