Les journalistes ont de plus en plus de mal à couvrir la situation en Egypte.
Les journalistes ont de plus en plus de mal à couvrir la situation en Egypte. Des policiers et des personnes qui affirment être partisans du président Moubarak ont commencé à les pourchasser.
Les journalistes ont de plus en plus de mal à couvrir la situation en Egypte. Des policiers et des personnes qui affirment être partisans du président Moubarak ont commencé à les pourchasser.
"Après les affrontement sur la place Tahrir qui sont survenus mercredi, tout a changé. Une véritable chasse a commencé", a raconté un photographe de RIA Novosti.
Les journalistes supposent que les autorités ont chargé tous leurs partisans, même les plus jeunes, d'empêcher les médias de prendre des images des événements au Caire. Tous ceux qui essaient de prendre des photos risquent d'être tabassés.
"Les journalistes sont obligés de faire des photos depuis le haut des bâtiments voisins. Néanmoins, les locataires ne les laissent pas entrer, car ils craignent les représailles des policiers et partisans de Moubarak", a raconté un photographe.
Des nouvelles manifestations de jeunes opposants au régime et de supporters de Moubarak ont lieu vendredi dans la capitale et dans d'autres villes égyptiennes.
Les pro-Moubarak affirment souhaiter le rétablissement de la stabilité et le renforcement de la sécurité en Egypte, plongée dans l'anarchie à la suite les manifestations massives de l'opposition.
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