Une « ingérence régionale » entrave la formation d’un nouveau gouvernement d’Irak

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1. Une «ingérence régionale» entrave la formation d'un nouveau gouvernement d'Irak. C'est ce qu'a déclaré le Premier ministre Nouri al-Maliki lors de sa rencontre à Bagdad avec l'amiral Michael Mullen, chef de l'état-major des armées des Etats-Unis. M. al-Maliki n'a pas expliqué ce qu'il entendait par «ingérence régionale», mais a prévenu que traîner avec la formation du Cabinet des ministres «n'exposait pas le seul Irak». Les législatives du 7 mars en Irak étaient gagnées par le bloc libéral-démocratique «Al-Irakya» avec à sa tête l'ex-Premier ministre Ayad Alaouï. Le bloc «L'Etat de la loi» du chef du gouvernement Nouri al-Maliki a obtenu seulement deux mandats de députés de moins. Les tentatives de créer une coalition, capables de former un nouveau gouvernement n'ont pas abouti pour le moment.
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