L'implantation d'une nouvelle base militaire russe au Kirghizstan permettrait de mieux combattre le trafic d'héroïne provenant d'Afghanistan, estime le directeur du Service russe de contrôle des stupéfiants (FSKN) Viktor Ivanov.
"La région d'Och représente une sorte d'embouchure par laquelle les stupéfiants se propagent dans toute l'Asie centrale. Cette région est une plaque tournante du trafic de drogue", a-t-il déclaré jeudi lors d'un duplex Washington-Moscou organisé à RIA Novosti. M. Ivanov est persuadé que les unités mobiles de l'armée russe seraient en mesure de combattre ce trafic. En cas de succès de ces négociations, la Russie aura sa deuxième base militaire au Kirghizstan. La première, celle de Kant, a été mise en place dans le cadre du déploiement en Asie centrale d'une force relevant de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC). Il s'agit d'une base aérienne comptant 10 avions et 14 hélicoptères. Ses effectifs ont été renforcés de deux compagnies de parachutistes en réponse aux troubles qui secouent le Kirghizstan depuis le début d'avril.
"La région d'Och représente une sorte d'embouchure par laquelle les stupéfiants se propagent dans toute l'Asie centrale. Cette région est une plaque tournante du trafic de drogue", a-t-il déclaré jeudi lors d'un duplex Washington-Moscou organisé à RIA Novosti. M. Ivanov est persuadé que les unités mobiles de l'armée russe seraient en mesure de combattre ce trafic. En cas de succès de ces négociations, la Russie aura sa deuxième base militaire au Kirghizstan. La première, celle de Kant, a été mise en place dans le cadre du déploiement en Asie centrale d'une force relevant de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC). Il s'agit d'une base aérienne comptant 10 avions et 14 hélicoptères. Ses effectifs ont été renforcés de deux compagnies de parachutistes en réponse aux troubles qui secouent le Kirghizstan depuis le début d'avril.