Au forum économique international qui se passe à Saint-Pétersbourg, a eu lieu la cérémonie de la remise du prix «l'Energie Globale». Ce prix international prestigieux a été fondé en 2002 à l'initiative d'une série de compagnies et de chercheurs russes. Cette fois, deux chercheurs - un Ukrainien et un Russe - Boris Paton et Alexandre Leontiev, sont devenus ses lauréats.
Le comité des experts composé de 19 scientifiques étrangers et de 15 Russes a attribué ce grand prix à Paton et Leontiev pour les recherches fondamentales et l'apport hors pair dans la solution des problèmes scientifiques et technologiques liés à l'énergie. A la base de leurs travaux reconnus dans le monde entier, sont fondées les nouvelles technologies énergétiques de grande efficacité, peu voraces en énergie et sûres. La tragédie récente dans le golfe de Mexique qui a porté un grand préjudice à l'écologie de la région vaste a montré à quel point la sécurité dans cette sphère était importante de nos jours. Le président de la Fédération de Russie Dmitri Medvedev, en particulier, a attiré l'attention sur ce point.
Aujourd'hui, nous tâchons activement de stimuler le développement de ces sphères de connaissances, des technologies, d'augmenter l'efficacité énergétique, de nous occuper de la création des nouveaux produits. Nous tâchons de rendre la production des ressources énergétiques plus sûre pour l'environnement, et leur consommation - plus accessible pour les gens ordinaires.
L'avenir de l'énergie mondiale, comme Dmitri Medvedev l'a marqué, est défini aujourd'hui et il naît dans les centres scientifiques et les laboratoires. Quant aux réalités d'aujourd'hui, la consommation des ressources énergétiques, en premier lieu du gaz, s'accroîtra, puisque l'économie mondiale se trouve sur la voie de la sortie de la crise. Dans les conditions actuelles, le Gazprom russe est prêt à livrer sur les marchés européens des quantités de gaz qui sont nécessaires pour les partenaires, malgré la croissance simultanée des livraisons du gaz sur les marchés asiatiques. C'était souligné par le chef du consortium Alexeï Miller qui s'est produit à la conférence «l'Energie Globale : l'avenir du marché gazier».
Le ministre chef du Gazprom a abordé le sujet du gaz schisteux, qui est largement débattu ces derniers temps dans les médias. À son avis, le gaz schisteux ne remplacera pas le gaz "traditionnel". L'agiotage lié avec son apparition sur le marché des États-Unis est lié à un fort degré à la campagne d'information.