Il y a 65 ans, le correspondant militaire Alexandre Oustinov écrivait: La nuit du 9 mai 1945, les Moscovites ne dormaient pas. A deux heures du matin, la radio... 08.05.2010, Sputnik Afrique
Il y a 65 ans, le correspondant militaire Alexandre Oustinov écrivait: La nuit du 9 mai 1945, les Moscovites ne dormaient pas. A deux heures du matin, la radio a annoncé qu'une information importante allait suivre. A 2 heures 10, la voix de Iouri Levitan a donné lecture de l'Acte de la capitulation militaire de l'Allemagne nazie et de l'arrêté du Présidium du Soviet suprême de l'URSS déclarant la journée du 9 mai fête de la Victoire.
Il y a 65 ans, le correspondant militaire Alexandre Oustinov écrivait: La nuit du 9 mai 1945, les Moscovites ne dormaient pas. A deux heures du matin, la radio a annoncé qu'une information importante allait suivre. A 2 heures 10, la voix de Iouri Levitan a donné lecture de l'Acte de la capitulation militaire de l'Allemagne nazie et de l'arrêté du Présidium du Soviet suprême de l'URSS déclarant la journée du 9 mai fête de la Victoire.
Il y a 65 ans, le correspondant militaire Alexandre Oustinov écrivait: La nuit du 9 mai 1945, les Moscovites ne dormaient pas. A deux heures du matin, la radio a annoncé qu'une information importante allait suivre. A 2 heures 10, la voix de Iouri Levitan a donné lecture de l'Acte de la capitulation militaire de l'Allemagne nazie et de l'arrêté du Présidium du Soviet suprême de l'URSS déclarant la journée du 9 mai fête de la Victoire. J'ai pris mon appareil photo et je suis sorti dans la rue…
Voici les souvenirs de Nikolaï Krioutchkov, aviateur militaire: "Le 9 mai 1945 j'étais en permission à Moscou. Il est tout simplement impossible de décrire ce qui se passait ce jour-là à Moscou"…
… On ne pouvait pas se frayer le chemin non seulement en voiture, mais également à pied. Les militaires étaient saisis, embrassés et projetés dans l'air…
J'avais bien fait d'acheter un litre de vodka à la gare au moment d'arriver à Moscou, car le soir il était déjà impossible de s'en procurer. Nous avons fêté la Victoire au sein de ma famille, avec nos voisins. Nous avons trinqué à la victoire, à tous ceux qui n'étaient pas rentrés, pour que le carnage ne se répète plus jamais. Le 10 mai, il n'y avait plus de vodka à Moscou, tous les stocks avaient été épuisés". Sur la photo: le 9 mai 1945, rue Gorki au centre de Moscou
9 mai 1945. La pianiste Nina Iemelianova joue sur la place Maïakovski (centre de Moscou).
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