La marque de voiture suédoise légendaire « Volvo » va appartenir au consortium chinois « Geely ». Le contrat a été signé avec l’ancien propriétaire de l’usine automobile scandinave – la compagnie américaine « Ford ».
Il y a deux semaines les médias ont annoncé que les chinois manquent de l’argent pour réaliser le projet ambitieux de l’achat de « Volvo ». Pourtant c’était plutôt une tentative de porter ombrage à la visite à Stockholm du vice-président de la République populaire de Chine Xi Jinping. Le contrat qui a atteint 1,8 milliards de dollars, a été signé en sa présence. Maintenant les célèbres véhicules suédoises vont être fabriquées non seulement en Europe, mais aussi en Chine. En plus, les Chinois ont l’intention de faire dans leur pays des véhicules « Volvo » les leaders de la classe premium.
Selon l’adjoint du directeur de l’Institut de l’Extrême Orient de l’Académie des sciences de Russie Andrei Ostrovski, l’achat de « Volvo » est lié avant tout à ce que l’économie chinoise est en hausse aujourd’hui.
Il y a deux semaines les médias ont annoncé que les chinois manquent de l’argent pour réaliser le projet ambitieux de l’achat de « Volvo ». Pourtant c’était plutôt une tentative de porter ombrage à la visite à Stockholm du vice-président de la République populaire de Chine Xi Jinping. Le contrat qui a atteint 1,8 milliards de dollars, a été signé en sa présence. Maintenant les célèbres véhicules suédoises vont être fabriquées non seulement en Europe, mais aussi en Chine. En plus, les Chinois ont l’intention de faire dans leur pays des véhicules « Volvo » les leaders de la classe premium.
Selon l’adjoint du directeur de l’Institut de l’Extrême Orient de l’Académie des sciences de Russie Andrei Ostrovski, l’achat de « Volvo » est lié avant tout à ce que l’économie chinoise est en hausse aujourd’hui.
La Chine s’est débarrassée la première des conséquences de la crise et elle essaie d’acheter aujourd’hui des entreprises différentes dans des pays différents. Elle est plutôt intéressée par les industries d’innovation aux technologies que la Chine ne possède pas encore.
Selon les économistes, la République populaire de Chine sera bientôt le plus grand centre de l’industrie automobile. Cela se déroule à cause de l’affaiblissement des producteurs européens, américains et japonais. Il n’y a pas très longtemps on a arrêté les usines qui où on fabriquait les « Toyota » japonaises en France et en Grande Bretagne. Les Etats-Unis ont aussi beaucoup de problèmes : la vente des voitures y a baissé depuis deux ans des dizaines de pour cents. L’Amérique part des marchés qui étaient autrefois prometteuses. Il faut se souvenir du marché d’achat par « Sberbank » du « Opel » allemand, qui a été fait échoué par GM.
Cela a été fait parce que les Américains ne voulaient pas transmettre à la Russie leurs technologies. Ils avaient besoin de cette « victoire », pour montrer encore une fois, à eux-mêmes, « qui est maître dans la maison ». Pourtant les derniers événements sur l’achat et la vente de « Volvo » parlent du renforcement de la concurrence pour être leader mondial dans la production des voitures.
Selon les économistes, la République populaire de Chine sera bientôt le plus grand centre de l’industrie automobile. Cela se déroule à cause de l’affaiblissement des producteurs européens, américains et japonais. Il n’y a pas très longtemps on a arrêté les usines qui où on fabriquait les « Toyota » japonaises en France et en Grande Bretagne. Les Etats-Unis ont aussi beaucoup de problèmes : la vente des voitures y a baissé depuis deux ans des dizaines de pour cents. L’Amérique part des marchés qui étaient autrefois prometteuses. Il faut se souvenir du marché d’achat par « Sberbank » du « Opel » allemand, qui a été fait échoué par GM.
Cela a été fait parce que les Américains ne voulaient pas transmettre à la Russie leurs technologies. Ils avaient besoin de cette « victoire », pour montrer encore une fois, à eux-mêmes, « qui est maître dans la maison ». Pourtant les derniers événements sur l’achat et la vente de « Volvo » parlent du renforcement de la concurrence pour être leader mondial dans la production des voitures.
