Les autorités judiciaires de Russie et des États-Unis se préparent à travailler la main dans la main. C’est le sens du mémorandum signé à Washington entre le Comité d’enquête auprès le Parquet russe et le Ministère de la sécurité nationale des États-Unis.
Validé par la vice-présidente du Comité Elena Leonenko et l’assistant du ministre de la sécurité nationale des États-Unis John Morton, le document fixe les grandes lignes de coopération dans le domaine des infractions. Moscou et Washington ont l’intention de coopérer étroitement avant tout sur les dossiers liés à l’exploitation sexuelle des mineurs et à la traite de personnes.
Le deuxième volet de coopération inclut la contrebande, l’escroquerie et la délinquance financière. Les parties ont également mis au point au programme commun de répression de délinquance cybernétique. Selon Morton, il a fallu trois ans pour préparer le texte du document dont la signature doit faciliter considérablement la coopération entre les autorités judiciaires des deux pays. Il est notamment appelé à supprimer la paperasserie et les atermoiements bureaucratiques lors des opérations sur le terrain, — pense le représentent plénipotentiaire de la Chambre des avocats de l’UE en Russie Alexandre Tretchev.
Le mémorandum est appelé à jouer un rôle très important dans le rapprochement entre deux grandes puissances pour la raison bien simple qu’à défaut de document final il est impossible à nos deux pays de coopérer dans la lutte contre la criminalité internationale. Désormais les criminels ne se sentiront plus en sécurité ni aux États-Unis, ni en Russie.
Validé par la vice-présidente du Comité Elena Leonenko et l’assistant du ministre de la sécurité nationale des États-Unis John Morton, le document fixe les grandes lignes de coopération dans le domaine des infractions. Moscou et Washington ont l’intention de coopérer étroitement avant tout sur les dossiers liés à l’exploitation sexuelle des mineurs et à la traite de personnes.
Le deuxième volet de coopération inclut la contrebande, l’escroquerie et la délinquance financière. Les parties ont également mis au point au programme commun de répression de délinquance cybernétique. Selon Morton, il a fallu trois ans pour préparer le texte du document dont la signature doit faciliter considérablement la coopération entre les autorités judiciaires des deux pays. Il est notamment appelé à supprimer la paperasserie et les atermoiements bureaucratiques lors des opérations sur le terrain, — pense le représentent plénipotentiaire de la Chambre des avocats de l’UE en Russie Alexandre Tretchev.
Le mémorandum est appelé à jouer un rôle très important dans le rapprochement entre deux grandes puissances pour la raison bien simple qu’à défaut de document final il est impossible à nos deux pays de coopérer dans la lutte contre la criminalité internationale. Désormais les criminels ne se sentiront plus en sécurité ni aux États-Unis, ni en Russie.
Moscou et Washington se donnent pour la priorité l’investigation des circonstances du crime commis sur la personne de Vania Skorobogatov âgé de 7 ans qui est récemment mort aux États-Unis.
Washington a également promis à Moscou son aide pour mener à bien les dossiers relatifs aux escroqueries internationales.
La partie américaine a également promis que plusieurs pièces de valeur dérobées à Saint-Pétersbourg reprendraient bientôt leur place au Musée de l’Ermitage.
Les parties se proposent d’instruire en commun plus d’une vingtaine de dossiers liés à l’immigration illégale et d’autres infractions. Elles ont déjà fait les démarches nécessaires en ce sens.
Washington a également promis à Moscou son aide pour mener à bien les dossiers relatifs aux escroqueries internationales.
La partie américaine a également promis que plusieurs pièces de valeur dérobées à Saint-Pétersbourg reprendraient bientôt leur place au Musée de l’Ermitage.
Les parties se proposent d’instruire en commun plus d’une vingtaine de dossiers liés à l’immigration illégale et d’autres infractions. Elles ont déjà fait les démarches nécessaires en ce sens.
