La Russie et les Etats-Unis ont terminé le travail sur le nouveau traité START. Le nombre d’ogives diminue d’un tiers. Le nouveau traité sur la réduction et la limitation des armes stratégiques offensives sera signé à Prague le 8 avril. Les présidents Dmitri Medvedev et Barack Obama en sont convenus vendredi lors d’un entretien téléphonique.
Les négociateurs à Genève ont pu résoudre la tâche principale : accorder la réduction des armes stratégiques tenant compte du principe de sécurité égale et indivisible. Le ministre russe des AE Sergei Lavrov a fait part aux journalistes des détails de ce document :
Le nouveau traité fixera les nouvelles limites des armements : 1550 ogives nucléaires pour chacune des parties. C’est 30% de moins par rapport à la limite fixée dans le traité précédent. Le nombre de missiles basés au sol, embarqués et celui des bombardiers stratégiques ne dépasse pas 700, soit, plus de deux fois moins qu’auparavant. En plus, 800 vecteurs des armes stratégiques, déployés ou non. C’est deux fois moins que le niveau qui existait.
Dans le nouveau traité, les questions des armes défensives et offensives sont liées entre elles juridiquement. La Russie et les Etats-Unis ont convenu que chacune des parties avait le droit de décider si elle participerait à la réduction ultérieure des armes stratégiques si le niveau des systèmes stratégiques défensif changeait. Selon le ministre, c’est une position honnête, car elle n’interdit ni à la Russie, ni aux Etats-Unis de prendre des décisions unilatérales.
Les négociateurs à Genève ont pu résoudre la tâche principale : accorder la réduction des armes stratégiques tenant compte du principe de sécurité égale et indivisible. Le ministre russe des AE Sergei Lavrov a fait part aux journalistes des détails de ce document :
Le nouveau traité fixera les nouvelles limites des armements : 1550 ogives nucléaires pour chacune des parties. C’est 30% de moins par rapport à la limite fixée dans le traité précédent. Le nombre de missiles basés au sol, embarqués et celui des bombardiers stratégiques ne dépasse pas 700, soit, plus de deux fois moins qu’auparavant. En plus, 800 vecteurs des armes stratégiques, déployés ou non. C’est deux fois moins que le niveau qui existait.
Dans le nouveau traité, les questions des armes défensives et offensives sont liées entre elles juridiquement. La Russie et les Etats-Unis ont convenu que chacune des parties avait le droit de décider si elle participerait à la réduction ultérieure des armes stratégiques si le niveau des systèmes stratégiques défensif changeait. Selon le ministre, c’est une position honnête, car elle n’interdit ni à la Russie, ni aux Etats-Unis de prendre des décisions unilatérales.
Un autre point important. Dans le document préparé, il est dit que les armes stratégiques russes et américaines seront déployées sur le territoire des deux pays uniquement.
Le document qui sera signé le 8 avril remplacera celui qui date de 1991. On note à Moscou qu’il a joué un rôle important dans l’assurance de la paix, la stabilité et la sécurité dans le monde. Sergei Lavrov a noté un grand apport personnel des deux chefs d’Etat, Medvedev et Obama, dans la concertation du nouveau traité. Ils ont régulièrement discuté la situation lors des rencontres et élaboré une vision commune qui permettait aux délégations à Genève de venir à un consensus sur les questions litigieuses.
Le document qui sera signé le 8 avril remplacera celui qui date de 1991. On note à Moscou qu’il a joué un rôle important dans l’assurance de la paix, la stabilité et la sécurité dans le monde. Sergei Lavrov a noté un grand apport personnel des deux chefs d’Etat, Medvedev et Obama, dans la concertation du nouveau traité. Ils ont régulièrement discuté la situation lors des rencontres et élaboré une vision commune qui permettait aux délégations à Genève de venir à un consensus sur les questions litigieuses.
