La Russie et le Qatar ont noté la communauté de leurs approches en vue de sécuriser davantage le monde sur le plan énergétique. C’est ce qui a été constaté ce mercredi, le 24 mars, aux pourparlers à Moscou du président Dmitri Medvedev et d’autres responsables russes avec le Premier ministre du Qatar – Hamad Bin Jassim Al Thani.
Ces négociations ont suscité de l’intérêt, vu que la Russie et le Qatar sont des leaders sur le marché mondial du gaz naturel. A trois avec l’Iran, ils en possèdent les plus importantes réserves au monde. Les deux Etats jouent un rôle considérable au Forum des pays exportateurs du gaz naturel, groupant 15 membres qui détiennent plus de la moitié des quantités prospectées du gaz naturel. De leur position concertée dépend aussi bien la stabilité globale et la sécurité énergétique, que le caractère équilibré des rapports entre les pays exportateurs, consommateurs et transitaires de cet hydrocarbure. Voici l’opinion de Konstantin Simonov, directeur général du Fonds russe de sécurité énergétique :
Nous comptons beaucoup sur le Forum des pays exportateurs du gaz naturel. Cette structure devra, enfin, commencer à fonctionner cette année. Nous nous attendons à un travail analytique et de marchéage réel, et non simplement à des discussions formelles. Parce qu’il faut réagir à la pression exercée sur la Russie, avant tout par les acheteurs du gaz naturel en Europe, intéressés à faire baisser les prix.
Dans ces conditions, la coordination des actions entre les exportateurs groupés dans le Forum devient d’autant plus importante. La Russie et le Qatar sont en mesure de donner exemple en cela.
Ces négociations ont suscité de l’intérêt, vu que la Russie et le Qatar sont des leaders sur le marché mondial du gaz naturel. A trois avec l’Iran, ils en possèdent les plus importantes réserves au monde. Les deux Etats jouent un rôle considérable au Forum des pays exportateurs du gaz naturel, groupant 15 membres qui détiennent plus de la moitié des quantités prospectées du gaz naturel. De leur position concertée dépend aussi bien la stabilité globale et la sécurité énergétique, que le caractère équilibré des rapports entre les pays exportateurs, consommateurs et transitaires de cet hydrocarbure. Voici l’opinion de Konstantin Simonov, directeur général du Fonds russe de sécurité énergétique :
Nous comptons beaucoup sur le Forum des pays exportateurs du gaz naturel. Cette structure devra, enfin, commencer à fonctionner cette année. Nous nous attendons à un travail analytique et de marchéage réel, et non simplement à des discussions formelles. Parce qu’il faut réagir à la pression exercée sur la Russie, avant tout par les acheteurs du gaz naturel en Europe, intéressés à faire baisser les prix.
Dans ces conditions, la coordination des actions entre les exportateurs groupés dans le Forum devient d’autant plus importante. La Russie et le Qatar sont en mesure de donner exemple en cela.
