Les Etats-Unis ont fêté les sept ans du début de la guerre de l’Irak par une manifestation à Washington rassemblant plusieurs milliers de protestataires. Les manifestants exigeaient que les autorités retirent immédiatement les troupes de l’Irak et de l’Afghanistan. Et que le principal responsable de ces campagnes militaires sanglantes et coûteuses George Bush soit poursuivi en justice pénale pour chaque vie emportée.
La société américaine est visiblement fatiguée des aventures militaires des autorités américaines hors les limites de leur pays. La résolution des problèmes politiques et économiques au prix de milliers de vies est inadmissible à la plupart des Américains. Aux Etats-Unis la majorité pragmatique de la population comprend que le pétrole est la seule raison pour l’envahissement du pays par les forces de la coalition. Mais le prix du pétrole s’avère trop cher. Le conformisme des Américains commencent à se transformer en mouvement de protestation. De façon générale, la guerre en Irak était dès son début inutile, estime l’expert de l’Institut de l’orientalisme auprès de l’Académie russe des sciences professeur Vladimir Sajine
L’objectif et le prétexte de cette guerre – les recherches de l’arme nucléaire – étaient faux. L’Irak ne le possédait pas. En même temps la guerre a eu un très mauvais impact sur les Américains, et premièrement sur les familles des soldats tués. Finalement, en renversant Saddam Hussein et en affaiblissant l’Irak les Américains ont fait de l’Iran une superpuissance de la région, sans le vouloir effectivement.
Selon diverses estimations, à la suite de la guerre l’Irak a perdu près d’un millions d’habitants. Un autre résultat de la guerre : la déstabilisation de la situation politique intérieure, l’économie ruinée, le déchainement du terrorisme, la scission de la société selon l’appartenance religieuse ou nationale. Les Américains ont exécuté leurs principal ennemi Saddam Hussein mais malgré leurs plans cela, bien loin de rassembler la société, est devenu un facteur de déstabilisation. Même le retrait des troupes annoncé par Barack Obama lors de sa campagne électorale et confirmé en qualité de chef de l’Etat pose encore beaucoup de questions. Selon les informations disponibles, les Etats-Unis veulent conserver en Irak un contingent restreint qui s’occupera de l’entrainement des forces armées irakiennes. Le nœud irakien ingénieusement noué par l’administration précédente pèse sur Barack Obama dont la popularité est tombée jusqu’à l’indice le plus bas à 43 pour cent.
La société américaine est visiblement fatiguée des aventures militaires des autorités américaines hors les limites de leur pays. La résolution des problèmes politiques et économiques au prix de milliers de vies est inadmissible à la plupart des Américains. Aux Etats-Unis la majorité pragmatique de la population comprend que le pétrole est la seule raison pour l’envahissement du pays par les forces de la coalition. Mais le prix du pétrole s’avère trop cher. Le conformisme des Américains commencent à se transformer en mouvement de protestation. De façon générale, la guerre en Irak était dès son début inutile, estime l’expert de l’Institut de l’orientalisme auprès de l’Académie russe des sciences professeur Vladimir Sajine
L’objectif et le prétexte de cette guerre – les recherches de l’arme nucléaire – étaient faux. L’Irak ne le possédait pas. En même temps la guerre a eu un très mauvais impact sur les Américains, et premièrement sur les familles des soldats tués. Finalement, en renversant Saddam Hussein et en affaiblissant l’Irak les Américains ont fait de l’Iran une superpuissance de la région, sans le vouloir effectivement.
Selon diverses estimations, à la suite de la guerre l’Irak a perdu près d’un millions d’habitants. Un autre résultat de la guerre : la déstabilisation de la situation politique intérieure, l’économie ruinée, le déchainement du terrorisme, la scission de la société selon l’appartenance religieuse ou nationale. Les Américains ont exécuté leurs principal ennemi Saddam Hussein mais malgré leurs plans cela, bien loin de rassembler la société, est devenu un facteur de déstabilisation. Même le retrait des troupes annoncé par Barack Obama lors de sa campagne électorale et confirmé en qualité de chef de l’Etat pose encore beaucoup de questions. Selon les informations disponibles, les Etats-Unis veulent conserver en Irak un contingent restreint qui s’occupera de l’entrainement des forces armées irakiennes. Le nœud irakien ingénieusement noué par l’administration précédente pèse sur Barack Obama dont la popularité est tombée jusqu’à l’indice le plus bas à 43 pour cent.