Notre observateur Alexei Grigoriev vous propose aujourd’hui ses réflexions sur le thème « Russie-Algérie : un pas nouveau vers l’élargissement du partenariat économique » et à la fin vous aurez comme toujours un flash sur les événements de la semaine au Maghreb.
Une réunion d’organisation du Conseil d’affaires russo-algérien a eu lieu cette semaine au siège de la Chambre russe de commerce et d’industrie. Il est significatif que le jour même, le 15 mars, Gazprom a fait savoir que le forage d’un premier puits d’exploration Rhourde Sayah-2 avait commencé dans le secteur russe du champ pétrolier de Berkine en Algérie. Cette information a confirmé une fois de plus que le partenariat économique au Centre de la réunion du Conseil, était en marche.
L’Algérie est pour la Russie le plus important des pays de la région, a dit Gueorgi Petrov en ouvrant la réunion. – Nos liens économiques datent du temps de l’Union Soviétique et l’Algérie reste toujours une région privilégiés pour les compagnes pétrolières et gazières russes. Je pense donc que, compte tenu des perspectives existantes, nous avons toutes les raisons de penser que le partenariat commercial et économique entre nos deux pays se développera avec succès à l’avenir également. Ces prévisions se fondent sur un dialogue politique constant et les relations personnelles solides qui se sont forgées entre les dirigeants au plus haut niveau de nos deux pays.
Le vice-président de la CCI russe a reconnu que tant la partie russe que la partie algérienne devaient faire beaucoup pour utiliser à fon les potentialités offertes par le partenariat commercial et économique. La coopération avait pati de la crise économique mondiale mais la situation sur les marchés des hydrocarbures s’est stabilisée depuis et on a la certitude de pouvoir élargir le partenariat russo-algérien dans ce domaine. Les perspectives sont également bonnes dans d’autres secteurs. Par exemple, l’appel d’offres pour le réaménagement du grand nœud ferroviaire d’Alger et l’organisation d’un trafic passager suburbain de qualité, a été gagné par la Société nationale russe des chemins de fer. Le contrat signé s’élève à plus de 800 millions d’euros et la RCD travaille activement sur sa réalisation. La CCI estime, dit Gueorgui Petrov, que les PME basées dans les régions russes ont des possibilités réelles de s’implanter sur le marché algérien.
Une réunion d’organisation du Conseil d’affaires russo-algérien a eu lieu cette semaine au siège de la Chambre russe de commerce et d’industrie. Il est significatif que le jour même, le 15 mars, Gazprom a fait savoir que le forage d’un premier puits d’exploration Rhourde Sayah-2 avait commencé dans le secteur russe du champ pétrolier de Berkine en Algérie. Cette information a confirmé une fois de plus que le partenariat économique au Centre de la réunion du Conseil, était en marche.
L’Algérie est pour la Russie le plus important des pays de la région, a dit Gueorgi Petrov en ouvrant la réunion. – Nos liens économiques datent du temps de l’Union Soviétique et l’Algérie reste toujours une région privilégiés pour les compagnes pétrolières et gazières russes. Je pense donc que, compte tenu des perspectives existantes, nous avons toutes les raisons de penser que le partenariat commercial et économique entre nos deux pays se développera avec succès à l’avenir également. Ces prévisions se fondent sur un dialogue politique constant et les relations personnelles solides qui se sont forgées entre les dirigeants au plus haut niveau de nos deux pays.
Le vice-président de la CCI russe a reconnu que tant la partie russe que la partie algérienne devaient faire beaucoup pour utiliser à fon les potentialités offertes par le partenariat commercial et économique. La coopération avait pati de la crise économique mondiale mais la situation sur les marchés des hydrocarbures s’est stabilisée depuis et on a la certitude de pouvoir élargir le partenariat russo-algérien dans ce domaine. Les perspectives sont également bonnes dans d’autres secteurs. Par exemple, l’appel d’offres pour le réaménagement du grand nœud ferroviaire d’Alger et l’organisation d’un trafic passager suburbain de qualité, a été gagné par la Société nationale russe des chemins de fer. Le contrat signé s’élève à plus de 800 millions d’euros et la RCD travaille activement sur sa réalisation. La CCI estime, dit Gueorgui Petrov, que les PME basées dans les régions russes ont des possibilités réelles de s’implanter sur le marché algérien.
Igor Kazak, nouveau président du Conseil d’affaires et PDG du groupe « Stroïsistema », a évoqué quant à les possibilités du partenariat sur les projets concrets autre qu’énergétiques.
Nous pouvons élargir et approfondir notre coopération dans les domaines les plus divers qui concernent l’énergie, BTP, développement des sources d’énergie renouvelables, aménagements hydrauliques, modernisations d’entreprises et extraction de minerais. Les échanges touristiques peuvent également bénéficier de stabilisation de la situation intérieure en Algérie. Dans ces conditions, notre Conseil a été et doit rester l’instrument permettant d’élargir la présence des sociétés russes en Algérie et renforcer tout le partenariat russo-algérien.
De l’avis d’Igor Kazak, le peu d’information qu’on a sur les potentialités offertes par la coopération, est un obstacle à l’élargissement du partenariat russo-algérien. Pour combler cette lacune, il est prévu d’ouvrir un site web avec toutes les informations nécessaires aux PME russes et algériennes qui voudraient coopérer entre elles. Une autre idée d’Igor Kazak consiste à ouvrir une Maison Russe avec une exposition permanente pour informer dans le détail les hommes d’affaires algériens sur les partenariats qu’ils pourraient lier en Russie.
Mohamed Maisoumi, invité de la réunion du côté algérien et PDG de la société CSPASE, a évoqué dans son interview à la Voix de la Russie la présence insuffisante des sociétés russes sur le marché algérien.
Notre correspondant ne pouvait pas finir son interview sans souhaiter du succès à la sélection algérienne à la prochaine Coupe du Monde de football en RSA.
Nous pouvons élargir et approfondir notre coopération dans les domaines les plus divers qui concernent l’énergie, BTP, développement des sources d’énergie renouvelables, aménagements hydrauliques, modernisations d’entreprises et extraction de minerais. Les échanges touristiques peuvent également bénéficier de stabilisation de la situation intérieure en Algérie. Dans ces conditions, notre Conseil a été et doit rester l’instrument permettant d’élargir la présence des sociétés russes en Algérie et renforcer tout le partenariat russo-algérien.
De l’avis d’Igor Kazak, le peu d’information qu’on a sur les potentialités offertes par la coopération, est un obstacle à l’élargissement du partenariat russo-algérien. Pour combler cette lacune, il est prévu d’ouvrir un site web avec toutes les informations nécessaires aux PME russes et algériennes qui voudraient coopérer entre elles. Une autre idée d’Igor Kazak consiste à ouvrir une Maison Russe avec une exposition permanente pour informer dans le détail les hommes d’affaires algériens sur les partenariats qu’ils pourraient lier en Russie.
Mohamed Maisoumi, invité de la réunion du côté algérien et PDG de la société CSPASE, a évoqué dans son interview à la Voix de la Russie la présence insuffisante des sociétés russes sur le marché algérien.
Notre correspondant ne pouvait pas finir son interview sans souhaiter du succès à la sélection algérienne à la prochaine Coupe du Monde de football en RSA.