« Vive la France ! » c’est le nom du festival de photographie « Photobiennale-2010 », qui a ouvert ses portes à Moscou pour la huitième fois. Les projets français occupent toujours une place particulière dans le programme du forum de Moscou. Comme cette année est l’année de la France en Russie, on peut voir les œuvres des peintres français et des paysages de France dans la plupart des salles d’expositions de la capitale. A cause de cela, la fondatrice et le directeur de la Maison de photo de Moscou Olga Sviblova, a décidé de donner à l’exposition un nom très simple. Notre correspondante Olga Denissova a visité l’exposition.
Le célèbre agence de photo Magnum photos expose cette année trois auteurs célèbres : Martine Franck, Elliot Erwitt, et bien sûr, l’un des fondateurs de l’agence Henri Cartier-Bresson. La rétrospective du maître est devenue un événement principal de la Photobiennale de Moscou. Ce n’est pas pour la première fois que les moscovites peuvent contempler les œuvres d’ Henri Cartier-Bresson. En 2000 La Maison de photo de Moscou a organisé une grande exposition de « l’œil du siècle » légendaire. Cartier-Bresson a deux séries de photos moscovites dont quelques oeuvres sont présentés à l’exposition. Le curateur de cette exposition est Robert Delpire, fondateur de la série « Photo poche » qui est devenue anthologie de la photo mondiale. Cette année, Sarah Moon, qui visite assez souvent la Maison de photo de Moscou, présente un film sur l’éditeur « Robert Delpire. Le montreur d’images ».
La rétrospective Cartier-Bresson à Moscou c’est 133 photos des époques différentes, faites dans des endroits différents du monde entier. Avant l’inauguration de la « Photobiennale », quant les hôtes arrivaient et l’orchestre répétait, le chef des projets « Magnum photos », photographe Julien Chapsal a parlé de l’exposition.
Le célèbre agence de photo Magnum photos expose cette année trois auteurs célèbres : Martine Franck, Elliot Erwitt, et bien sûr, l’un des fondateurs de l’agence Henri Cartier-Bresson. La rétrospective du maître est devenue un événement principal de la Photobiennale de Moscou. Ce n’est pas pour la première fois que les moscovites peuvent contempler les œuvres d’ Henri Cartier-Bresson. En 2000 La Maison de photo de Moscou a organisé une grande exposition de « l’œil du siècle » légendaire. Cartier-Bresson a deux séries de photos moscovites dont quelques oeuvres sont présentés à l’exposition. Le curateur de cette exposition est Robert Delpire, fondateur de la série « Photo poche » qui est devenue anthologie de la photo mondiale. Cette année, Sarah Moon, qui visite assez souvent la Maison de photo de Moscou, présente un film sur l’éditeur « Robert Delpire. Le montreur d’images ».
La rétrospective Cartier-Bresson à Moscou c’est 133 photos des époques différentes, faites dans des endroits différents du monde entier. Avant l’inauguration de la « Photobiennale », quant les hôtes arrivaient et l’orchestre répétait, le chef des projets « Magnum photos », photographe Julien Chapsal a parlé de l’exposition.
Il y a deux ans Julien Chapsal a visité Saint-Pétersbourg et où il a rencontré les jeunes photographes russes et les amateurs de la photographie. Il leur a parlé de l’agence et des projets en Russie.
Vous avez écouté le reportage sur la Photobiennale et l’interview de Julien Chapsal, préparée par notre correspondante Olga Denissova.
Vous avez écouté le reportage sur la Photobiennale et l’interview de Julien Chapsal, préparée par notre correspondante Olga Denissova.
