On ne peut pas se contenter de la réforme du Ministère de l’Intérieur toute seule, parallèlement avec elle, il est nécessaire de perfectionner les organismes du parquet, le FSB et le système judiciaire de Russie. C’est cette proposition qui était au centre du débat pendant la discussion de la Conception de la réforme du Ministère de l'Intérieur présentée par la Commission de la Chambre civile de Russie.
Des changements qualitatifs du système des forces de l’ordre sont nécessaires au pays, estime Ella Pamfilova, conseillère du président de Russie pour les droits de l’homme. Mais c'est impossible sans une réforme de toutes les structures fortes, sans l’apparition des cours indépendantes. Pour qu'une telle reconstruction soit efficace, il faut faire participer à ce travail l'opinion publique et les experts, croit-elle.
Les analystes occidentaux remarquent que la stratégie choisie en Russie est juste. En même temps, l'expert des Pays-Bas Anneke Osse met en garde, qu’il ne faut pas s’attendre à un succès instantané. La police –à l'ouest comme en Russie – n'aime pas les réformes, cependant, il est nécessaire de les entreprendre. Dans la chambre civile de Russie, on est assuré aussi que le contrôle de la part des associations sur la réforme – c’est la condition sine qua non. Le membre de la Chambre civile, l'avocat Anatoly Koutcherena dit: «Pour nous, il est particulièrement important que cette réforme soit organisée non comme un but en soi, mais pour le bien des gens. Cependant, nous n'allons pas prendre des mesures à la va-vite, puisque nous trouvons que les questions de la réformation du système du Ministère de l’Intérieur sont extrêmement complexes. Il est agréable pour nous, bien sûr, que les spécialistes commencent à participer à ce travail, les experts étrangers, notamment.»
Ces derniers temps, les Russes sont mécontents de la milice. Des crimes bruyants commis par des miliciens n'ajoutent pas à la popularité de celle-ci. En même temps, cela ne signifie pas qu'il faut accuser de tous les maux la milice et licencier tous les miliciens, dit le chef du comité de la Douma d'État pour la sécurité Vladimir Vasiliev: «Personne ne dira que la réforme n’est pas nécessaire, mais il ne faut pas sous-estimer les actions des miliciens lorsqu’il s’agit de la protection des gens contre des criminels. Et puis, la réforme, elle se passe déjà. Nous voyons que la situation sur les routes change réellement, Dans les rues des villes, il y a moins de crimes. Et non seulement la milice est réformée. Il y a tout un programme pour la résistance à la corruption. Cela ne se voit pas beaucoup encore, mais ce processus se renforce.»
Des changements qualitatifs du système des forces de l’ordre sont nécessaires au pays, estime Ella Pamfilova, conseillère du président de Russie pour les droits de l’homme. Mais c'est impossible sans une réforme de toutes les structures fortes, sans l’apparition des cours indépendantes. Pour qu'une telle reconstruction soit efficace, il faut faire participer à ce travail l'opinion publique et les experts, croit-elle.
Les analystes occidentaux remarquent que la stratégie choisie en Russie est juste. En même temps, l'expert des Pays-Bas Anneke Osse met en garde, qu’il ne faut pas s’attendre à un succès instantané. La police –à l'ouest comme en Russie – n'aime pas les réformes, cependant, il est nécessaire de les entreprendre. Dans la chambre civile de Russie, on est assuré aussi que le contrôle de la part des associations sur la réforme – c’est la condition sine qua non. Le membre de la Chambre civile, l'avocat Anatoly Koutcherena dit: «Pour nous, il est particulièrement important que cette réforme soit organisée non comme un but en soi, mais pour le bien des gens. Cependant, nous n'allons pas prendre des mesures à la va-vite, puisque nous trouvons que les questions de la réformation du système du Ministère de l’Intérieur sont extrêmement complexes. Il est agréable pour nous, bien sûr, que les spécialistes commencent à participer à ce travail, les experts étrangers, notamment.»
Ces derniers temps, les Russes sont mécontents de la milice. Des crimes bruyants commis par des miliciens n'ajoutent pas à la popularité de celle-ci. En même temps, cela ne signifie pas qu'il faut accuser de tous les maux la milice et licencier tous les miliciens, dit le chef du comité de la Douma d'État pour la sécurité Vladimir Vasiliev: «Personne ne dira que la réforme n’est pas nécessaire, mais il ne faut pas sous-estimer les actions des miliciens lorsqu’il s’agit de la protection des gens contre des criminels. Et puis, la réforme, elle se passe déjà. Nous voyons que la situation sur les routes change réellement, Dans les rues des villes, il y a moins de crimes. Et non seulement la milice est réformée. Il y a tout un programme pour la résistance à la corruption. Cela ne se voit pas beaucoup encore, mais ce processus se renforce.»