Il est inadmissible de limiter l’accès de la Russie à la mise en valeur des champs pétroliers et gaziers en Arctique, a déclaré le chef de l’Etat Dmitri Medvedev. Il a présidé une réunion du Conseil national de sécurité, axée sur les mesures à prendre en vue de réagir aux menaces, qu’apporte le réchauffement du climat de la planète.
Ces dernières années toujours plus d’Etats souhaitent participer à une valorisation des richesses de la zone arctique, évaluées à plus de 25 % des réserves mondiales du pétrole et du gaz. Cet intérêt pour la zone polaire s’explique par le fait que le réchauffement global avance à des rythmes deux fois plus rapides en Arctique, que dans le reste du monde. Parmi d’autres aspects positifs et négatifs la fonte des glaces offre de nouvelles possibilités à une navigation régulière dans l’Océan Glacial Arctique.
La Russie, les Etats-Unis, le Canada, le Danemark et la Norvège considèrent les territoires arctiques comme les leurs.
Dès à présent les pays subarctiques entreprennent des démarches énergiques en vue d’étendre leur présence scientifique, économique, voire militaire dans la zone polaire. A la fois des tentatives sont entreprises pour limiter l’accès de la Russie à la mise en valeur des champs pétroliers et gaziers en Arctique, ce qui est inadmissible du point de vue juridique et injuste au regard de la situation géographique et de l’histoire même de notre pays.
Ces dernières années toujours plus d’Etats souhaitent participer à une valorisation des richesses de la zone arctique, évaluées à plus de 25 % des réserves mondiales du pétrole et du gaz. Cet intérêt pour la zone polaire s’explique par le fait que le réchauffement global avance à des rythmes deux fois plus rapides en Arctique, que dans le reste du monde. Parmi d’autres aspects positifs et négatifs la fonte des glaces offre de nouvelles possibilités à une navigation régulière dans l’Océan Glacial Arctique.
La Russie, les Etats-Unis, le Canada, le Danemark et la Norvège considèrent les territoires arctiques comme les leurs.
Dès à présent les pays subarctiques entreprennent des démarches énergiques en vue d’étendre leur présence scientifique, économique, voire militaire dans la zone polaire. A la fois des tentatives sont entreprises pour limiter l’accès de la Russie à la mise en valeur des champs pétroliers et gaziers en Arctique, ce qui est inadmissible du point de vue juridique et injuste au regard de la situation géographique et de l’histoire même de notre pays.
De plus, le président Dmitri Medvedev a donné un délai jusqu’au 1er juin au gouvernement pour lui présenter des résultats de l’examen du projet de système « Arctique » dans l’Espace. C’est un nouveau programme par objectifs de monitorage hydrométéorologique et climatique de la région arctique. Et avant le 1er juillet une stratégie d’activités dans le domaine d’hydrométéorologie jusqu’à 2030 doit être adoptée.
Les changements climatiques peuvent également entraîner des contradictions entre les Etats. Elles sont liées à la prospection et à l’exploitation des hydrocarbures, à l’utilisation des voies de transport maritimes, au déficit des ressources aquatiques et alimentaires.
Afin de contrôler tous le spectre des changements, Dmitri Medvedev a chargé le gouvernement d’adopter avant le 1er octobre un ensemble de mesures, appelées à mettre en œuvre la doctrine climatique de la Russie.
Les changements climatiques peuvent également entraîner des contradictions entre les Etats. Elles sont liées à la prospection et à l’exploitation des hydrocarbures, à l’utilisation des voies de transport maritimes, au déficit des ressources aquatiques et alimentaires.
Afin de contrôler tous le spectre des changements, Dmitri Medvedev a chargé le gouvernement d’adopter avant le 1er octobre un ensemble de mesures, appelées à mettre en œuvre la doctrine climatique de la Russie.