« Nous avons invité les français à prendre part aux projets de business, je dirais même à la révolution du business dans le secteur agraire de l’économie de la région de Tambov », annonce le député de la Douma d’Etat (la Chambre basse du parlement russe) Alexeï Plakhotnikov.
Le potentiel de la région prouve que nous devons nous développer, — continue Alexeï Plakhotnikov. – L’année dernière nous avons cultivé les céréales pour 35 milliards de roubles. Il y avait un seul problème, où le vendre. Si l’on avait transformé les céréales, on gagnerait 135 milliards de roubles. Les Français pourraient bien participer à un projet si lucratif.
Notre correspondent Igor Iazon a rencontré Alexeï Plakhotnikov lors d’une vidéoconférence sur « L’expérience et le potentiel de la coopération de la Russie et de la France dans l’agriculture », qui a été organisée par l’agence des actualités politiques « Novosti » la veille de l’inauguration de l’exposition internationale agricole « AGRICULTURE-2010 ». Comme c’est l’Année croisée France-Russie, la Russie a participé à « Agriculture 2010 » en tant qu’un hôte d’honneur. Elle a été représentée par six régions, dont la région de Tambov. Alexeï Plakhotnikov a visité Paris et aujourd’hui il parle de ses impressions de ce voyage et de l’exposition « AGRICULTURE-2010 » à notre correspondent.
Le potentiel de la région prouve que nous devons nous développer, — continue Alexeï Plakhotnikov. – L’année dernière nous avons cultivé les céréales pour 35 milliards de roubles. Il y avait un seul problème, où le vendre. Si l’on avait transformé les céréales, on gagnerait 135 milliards de roubles. Les Français pourraient bien participer à un projet si lucratif.
Notre correspondent Igor Iazon a rencontré Alexeï Plakhotnikov lors d’une vidéoconférence sur « L’expérience et le potentiel de la coopération de la Russie et de la France dans l’agriculture », qui a été organisée par l’agence des actualités politiques « Novosti » la veille de l’inauguration de l’exposition internationale agricole « AGRICULTURE-2010 ». Comme c’est l’Année croisée France-Russie, la Russie a participé à « Agriculture 2010 » en tant qu’un hôte d’honneur. Elle a été représentée par six régions, dont la région de Tambov. Alexeï Plakhotnikov a visité Paris et aujourd’hui il parle de ses impressions de ce voyage et de l’exposition « AGRICULTURE-2010 » à notre correspondent.
C’était l’exposition des progrès des fermiers, des paysans de différents pays, on a pu échanger de l’expérience. Je pense que les meilleurs produits des pays européens y compris de six régions de la Russie y ont été présentés. Cette exposition était très intéressante et beaucoup de français ont visité la partie russe. Il y a eu surtout beaucoup de monde samedi et dimanche, les familles française se promenaient dans les salles et goûtaient la production des paysans, cette dégustation est une tradition obligatoire des expositions agraires de Paris. Devant chaque pavillon russe il y avait des petits concerts des groupes folkloriques en consumes traditionnels de chaque région présentée. L’atmosphère était très bienveillante.
A vrai dire, continue Alexeï Plakhotnikov, pas tous les Français savait que la région de Tambov existe sur la carte, mais ils ont appris encore à l’école que la terre noire existe.
Nous avons nos terres noires et il faut les utiliser à 100 pour cent, annonce Alexeï Plakhotnikov. Aujourd’hui on commence à utiliser notre potentiel agraire. Cela fait quelques années que nous cultivons jusqu’à 3 millions de tonnes de blé de très haute qualité. La deuxième culture est celle du sucre, nous récoltons aujourd’hui jusqu’à 2,5 millions de tonnes de betterave sucrière et nous la transformons à nos sucreries. Il n’a pas très longtemps, pour la première fois en 30 ans, nous avons fondé encore une sucrerie. Nous n’utilisons pas tout notre potentiel. Beaucoup de fermiers français, d’entrepreneurs, de représentants des banques et les médias ont participé à la présentation de la région de Tambov. Nous avons monté ce que nous produisons déjà et nos projets pour l’avenir : sucreries et fermes d’élevage. L’Etat soutient ces projets. Nous avons assez de personnel expérimenté, mais nous avons besoin de nouvelles technologies, du bétail d’élite, des investisseurs et enfin des partenaires sûrs. On voudrait l’emprunter à la France, qui a l’un des secteurs agraires les plus développé en Europe. Il est tôt de dire si nous avons réussi à persuader nos nouveaux amis français qu’on peut travailler ensemble. Pourtant, nous avons ressenti l’intérêt des entrepreneurs français et les premiers accords sont déjà signés. Maintenant nous allons attendre les démarches réelles et l’exposition «AGRICULTURE-2010 ». Si tout va bien, nous pourrons le référer à notre participation à l’Année croisée France-Russie.
A vrai dire, continue Alexeï Plakhotnikov, pas tous les Français savait que la région de Tambov existe sur la carte, mais ils ont appris encore à l’école que la terre noire existe.
Nous avons nos terres noires et il faut les utiliser à 100 pour cent, annonce Alexeï Plakhotnikov. Aujourd’hui on commence à utiliser notre potentiel agraire. Cela fait quelques années que nous cultivons jusqu’à 3 millions de tonnes de blé de très haute qualité. La deuxième culture est celle du sucre, nous récoltons aujourd’hui jusqu’à 2,5 millions de tonnes de betterave sucrière et nous la transformons à nos sucreries. Il n’a pas très longtemps, pour la première fois en 30 ans, nous avons fondé encore une sucrerie. Nous n’utilisons pas tout notre potentiel. Beaucoup de fermiers français, d’entrepreneurs, de représentants des banques et les médias ont participé à la présentation de la région de Tambov. Nous avons monté ce que nous produisons déjà et nos projets pour l’avenir : sucreries et fermes d’élevage. L’Etat soutient ces projets. Nous avons assez de personnel expérimenté, mais nous avons besoin de nouvelles technologies, du bétail d’élite, des investisseurs et enfin des partenaires sûrs. On voudrait l’emprunter à la France, qui a l’un des secteurs agraires les plus développé en Europe. Il est tôt de dire si nous avons réussi à persuader nos nouveaux amis français qu’on peut travailler ensemble. Pourtant, nous avons ressenti l’intérêt des entrepreneurs français et les premiers accords sont déjà signés. Maintenant nous allons attendre les démarches réelles et l’exposition «AGRICULTURE-2010 ». Si tout va bien, nous pourrons le référer à notre participation à l’Année croisée France-Russie.
