Le consortium « Nord Stream » a obtenu une première tranche du crédit, a-t-on annoncé à Londres. 3,9 milliards d’€ devront suffire pour poser l’essentiel du premier fil du gazoduc, le reste étant investi par les actionnaires du projet. A la fin de 2010 on planifie d’attirer encore 2,5 milliards d’€, afin de financer la construction du second fil.
Long de 1223 km, le gazoduc « Nord Stream » reliera sous la mer Baltique le port russe de Vyborg à Greifswald allemande. Sa capacité de transport totale sera de 55 milliards de m3 par an. Les deux fils du gazoduc seront mis en service en novembre 2012. Le consortium russe Gazprom détient 51% des actions, les partenaires d’Allemagne et des Pays-Bas – le reste. Avant fin mars on s’attend à l’entrée dans le projet d’un nouvel actionnaire — Gaz de France Suez. Les actionnaires du projet ont engagé des crédits de 26 banques. Gareguine Tassounian, président de l’Association des banques russes a expliqué au correspondant de la « Voix de la Russie » qu’une telle décision assurera la stabilité financière du projet.
C’est normal quand des projets de grande envergure sont financés dans une certaine proportion par des fondateurs, propriétaire du projet et un large ensemble de créanciers. Le principal ici est le contrôle collectif de la mise en œuvre du projet.
Les banquiers ont des garanties des agences de crédit – Hermes allemande, SACE italienne et United Loan Guarantee Program allemande. Tous les permis techniques et écologiques sont obtenus et mis sur le papier. Certains hommes politiques, avant tout, de Pologne et de trois pays Baltes énoncent quelques objections. Le consortium « Nord Stream » a dépensé plus de 100 millions d’€ à des recherches environnementales. Le tracé du gazoduc ne passe pas par les endroits, où gisent les munitions datant de la Seconde guerre mondiale. Au fond de la mer Baltique on a découvert 12 vieux navires, qui y resteront comme monuments des relations commerciales et internationales dans la région baltique. Le nouveau gazoduc garantit à l’Europe la satisfaction de ses besoins croissants en gaz naturel.
Long de 1223 km, le gazoduc « Nord Stream » reliera sous la mer Baltique le port russe de Vyborg à Greifswald allemande. Sa capacité de transport totale sera de 55 milliards de m3 par an. Les deux fils du gazoduc seront mis en service en novembre 2012. Le consortium russe Gazprom détient 51% des actions, les partenaires d’Allemagne et des Pays-Bas – le reste. Avant fin mars on s’attend à l’entrée dans le projet d’un nouvel actionnaire — Gaz de France Suez. Les actionnaires du projet ont engagé des crédits de 26 banques. Gareguine Tassounian, président de l’Association des banques russes a expliqué au correspondant de la « Voix de la Russie » qu’une telle décision assurera la stabilité financière du projet.
C’est normal quand des projets de grande envergure sont financés dans une certaine proportion par des fondateurs, propriétaire du projet et un large ensemble de créanciers. Le principal ici est le contrôle collectif de la mise en œuvre du projet.
Les banquiers ont des garanties des agences de crédit – Hermes allemande, SACE italienne et United Loan Guarantee Program allemande. Tous les permis techniques et écologiques sont obtenus et mis sur le papier. Certains hommes politiques, avant tout, de Pologne et de trois pays Baltes énoncent quelques objections. Le consortium « Nord Stream » a dépensé plus de 100 millions d’€ à des recherches environnementales. Le tracé du gazoduc ne passe pas par les endroits, où gisent les munitions datant de la Seconde guerre mondiale. Au fond de la mer Baltique on a découvert 12 vieux navires, qui y resteront comme monuments des relations commerciales et internationales dans la région baltique. Le nouveau gazoduc garantit à l’Europe la satisfaction de ses besoins croissants en gaz naturel.
