Le forum économique et financier russe a tenu sa neuvième session à Zurich suisse. Des hommes d’affaires, des politiques et des banquiers russes et européens ont discuté les perspectives pour surmonter la crise, qui a frappé douloureusement l’économie et le système financier du monde.
La discussion a principalement tournée autour des méthodes de solution des problèmes brûlants de fonctionnement du système économique et financier mondial. Le monde a rencontré des problèmes fonciers, qu’il devient toujours plus difficile à résoudre. En fait, la mesure anticrise majeure, appliquée comme une panacée par la majorité de gouvernements, se ramenait à des injections financières massives de l’Etat dans les économies nationales. Or les prêts de l’Etat à une large échelle entraînent inévitablement un appauvrissement du Trésor et, en conséquence, la croissance de la dette d’Etat, une hausse des impôts et une réduction des dépenses budgétaires. En plus de l’inflation et d’un défaut, ceci risque déjà de provoquer une explosion sociale.
Et là le rôle des banques comme une sorte de « coussin de sécurité financier » pour l’économie devient prioritaire. D’ailleurs, les banquiers veillent avant tout à leurs propres intérêts, et en Russie ni le business, ni la production nationale n’ont jamais obtenu de crédits accessibles. Toutefois, la communauté bancaire n’est pas encline à dramatiser la situation, mais appelle à la discuter plus souvent. Anatoli Aksakov, membre du comité de la chambre basse du parlement estime que c’est en Russie qu’il faut parler de l’économie et des finances russes.
A Zurich on échangeait d’opinions. Les positions des banquiers, des hommes politiques, de la direction de la Banque de Russie sont déterminées dans le cadre d’autres rencontres, telles que le congrès annuel des banquiers à Saint-Pétersbourg, le Forum à Sotchi, qui réunit quelque 500-600 banquiers, des responsables de la Banque Mondiale et du FMI. La discussion à Zurich permet d’informer nos partenaires occidentaux de la situation en Russie et de contacter les uns les autres. Et en général, il convient d’abandonner cette pratique d’examiner la situation intérieure au-delà de la Russie.
La discussion a principalement tournée autour des méthodes de solution des problèmes brûlants de fonctionnement du système économique et financier mondial. Le monde a rencontré des problèmes fonciers, qu’il devient toujours plus difficile à résoudre. En fait, la mesure anticrise majeure, appliquée comme une panacée par la majorité de gouvernements, se ramenait à des injections financières massives de l’Etat dans les économies nationales. Or les prêts de l’Etat à une large échelle entraînent inévitablement un appauvrissement du Trésor et, en conséquence, la croissance de la dette d’Etat, une hausse des impôts et une réduction des dépenses budgétaires. En plus de l’inflation et d’un défaut, ceci risque déjà de provoquer une explosion sociale.
Et là le rôle des banques comme une sorte de « coussin de sécurité financier » pour l’économie devient prioritaire. D’ailleurs, les banquiers veillent avant tout à leurs propres intérêts, et en Russie ni le business, ni la production nationale n’ont jamais obtenu de crédits accessibles. Toutefois, la communauté bancaire n’est pas encline à dramatiser la situation, mais appelle à la discuter plus souvent. Anatoli Aksakov, membre du comité de la chambre basse du parlement estime que c’est en Russie qu’il faut parler de l’économie et des finances russes.
A Zurich on échangeait d’opinions. Les positions des banquiers, des hommes politiques, de la direction de la Banque de Russie sont déterminées dans le cadre d’autres rencontres, telles que le congrès annuel des banquiers à Saint-Pétersbourg, le Forum à Sotchi, qui réunit quelque 500-600 banquiers, des responsables de la Banque Mondiale et du FMI. La discussion à Zurich permet d’informer nos partenaires occidentaux de la situation en Russie et de contacter les uns les autres. Et en général, il convient d’abandonner cette pratique d’examiner la situation intérieure au-delà de la Russie.
Néanmoins, au forum en Suisse ont été entendus les rapports sur l’état de choses dans le secteur banquier russe, sur les lois facilitant la tâche aux capitaux industriel et bancaire nationaux dans les conditions de crise, sur l’évolution du partenariat économique entre la Russie et la Suisse. L’ambassadeur de Russie en Suisse Igor Brattchikov a noté que le chiffre d’affaire mutuel des deux pays a diminué d’un tiers en 2009 à cause de la crise, en atteignant toutefois 2,1 milliards de $.
Les élites financières russe et suisse ont une nouvelle fois confronté leurs positions en matière de résistance commune aux suites de la crise globale sans révéler de contradictions cardinales à ce sujet.
Les élites financières russe et suisse ont une nouvelle fois confronté leurs positions en matière de résistance commune aux suites de la crise globale sans révéler de contradictions cardinales à ce sujet.