Les chefs des agences spatiales des pays-membres du programme de l’ISS – la Russie, le Canada, l'Europe, le Japon et les États-Unis- sont arrivés à la conclusion lors d’une conférence à Tokyo qu'il n'y avait pas d’obstacles techniques pour la prolongation du délai du travail de la station spatiale Internationale jusqu'à 2020, et non jusqu'à 2015, comme on avait prévu plus tôt.
Cette année, l’ISS marque un anniversaire original — il y a dix ans, les gens sont venus sur l'orbite pour la première fois et ne la quittent plus. Pourtant, après l'accident de la navette spatiale "Columbia" il y a sept ans, il semblait que le projet pourrait être arrêté. Grâce à la participation de Russie au projet, cela ne s'est pas produit, a remarqué le chef de l'agence fédérale spatiale Anatoly Perminov.
Aujourd'hui, seulement un pays — la Russie — peut exécuter ces programmes après la cessation des vols des navettes américaines. De sorte que sa signification augmente encore plus, eh bien, la responsabilité aussi, naturellement.
L’ISS est, avant tout, un projet scientifique, il peut ne pas apporter de profit immédiat, mais il est difficile de surestimer sa signification stratégique, trouve le chef de l'Agence Spatiale Européenne Jean-Jacques Dorden.
Cette année, l’ISS marque un anniversaire original — il y a dix ans, les gens sont venus sur l'orbite pour la première fois et ne la quittent plus. Pourtant, après l'accident de la navette spatiale "Columbia" il y a sept ans, il semblait que le projet pourrait être arrêté. Grâce à la participation de Russie au projet, cela ne s'est pas produit, a remarqué le chef de l'agence fédérale spatiale Anatoly Perminov.
Aujourd'hui, seulement un pays — la Russie — peut exécuter ces programmes après la cessation des vols des navettes américaines. De sorte que sa signification augmente encore plus, eh bien, la responsabilité aussi, naturellement.
L’ISS est, avant tout, un projet scientifique, il peut ne pas apporter de profit immédiat, mais il est difficile de surestimer sa signification stratégique, trouve le chef de l'Agence Spatiale Européenne Jean-Jacques Dorden.
Le Programme de l’ISS a commencé par la mise en marche du module russe "Zaria" (Aube) il y a 12 ans. Maintenant, la construction de la station spatiale internationale, égale par ses dimensions à un terrain de football, est terminée. C'est l'objectif spatial créé par l’homme le plus impressionnant et un exemple de coopération internationale réellement efficace : 15 pays participent au projet. Les membres de la rencontre à Tokyo ont noté qu’aujourd’hui, l’ISS est l'étoile la plus brillante dans le ciel, et non seulement au sens figuré, mais aussi au sens propre. Il est tout à fait possible qu'elle brille aussi après 2020. Déjà maintenant, les partenaires travaillent pour que l’on puisse utiliser les éléments de la station orbitale jusqu'à 2028.