16 enfants russes adoptés ont péri ces 16 dernières années aux Etats-Unis. Le responsable des droits de l’enfant auprès du président de Russie Pavel Astakhov a rendu aujourd’hui publiques ces statistiques tragiques à une conférence de presse à Moscou.
D’après les données officielles, plus de 45 mille enfants russes vivent aujourd’hui dans les familles étrangères, notamment aux Etats-Unis. La procédure d’adoption est régulée par les lois de la Fédération de Russie. Toutes les mesures ont théoriquement pour but la garantie des droits de l’enfant, des conditions de vie dignes. Il est parfois difficile de suivre le sort des enfants. La mort de Vania Skorobogatov, 7 ans, est le récent exemple tragique. L’enfant exténué a été placé en août dernier à l’hôpital. Les médecins n’ont pas réussi à le sauver. Ses parents adoptifs sont en prison accusés d’assassinat. Au micro le juriste en vue Alexandre Trechtchev, de la Chambre des avocats de l’UE en Russie.
Il faut combler les lacunes dans la législation empêchant de garantir la sécurité des enfants. Le facteur humain constitue le problème le plus sérieux. Les fonctionnaires corrompus rendent possible l’adoption des enfants au mépris des lois en vigueur. Il faut réviser la législation, durcir le contrôle, coopérer avec les structures fortes pour protéger les droits des enfants.
D’après les données officielles, plus de 45 mille enfants russes vivent aujourd’hui dans les familles étrangères, notamment aux Etats-Unis. La procédure d’adoption est régulée par les lois de la Fédération de Russie. Toutes les mesures ont théoriquement pour but la garantie des droits de l’enfant, des conditions de vie dignes. Il est parfois difficile de suivre le sort des enfants. La mort de Vania Skorobogatov, 7 ans, est le récent exemple tragique. L’enfant exténué a été placé en août dernier à l’hôpital. Les médecins n’ont pas réussi à le sauver. Ses parents adoptifs sont en prison accusés d’assassinat. Au micro le juriste en vue Alexandre Trechtchev, de la Chambre des avocats de l’UE en Russie.
Il faut combler les lacunes dans la législation empêchant de garantir la sécurité des enfants. Le facteur humain constitue le problème le plus sérieux. Les fonctionnaires corrompus rendent possible l’adoption des enfants au mépris des lois en vigueur. Il faut réviser la législation, durcir le contrôle, coopérer avec les structures fortes pour protéger les droits des enfants.
C’est à la partie russe d’appliquer les mesures proposées par l’avocat Trechtchev. Cependant, les partenaires étrangers participant à l’adoption devraient assumer leur part de responsabilité. Il faut poser un fondement juridique de la procédure.
