Le bloc de Ioulia Timochenko (opposition), qui a perdu la présidentielle, est persuadé que le Parti des régions du président ukrainien Viktor Ianoukovitch ne sera pas en mesure de former une coalition au parlement et propose de fixer au 30 mai prochain des législatives anticipées.
"Le compte à rebours a été déclenché le 2 mars dernier. Cela signifie que le décret peut être signé avant le 1er avril. Et le 30 mai, on devra se rendre aux urnes. Rien de réjouissant, en effet, mais que faire?", a déclaré mercredi Ivan Kirilenko, leader de la fraction du BIT (Bloc Ioulia Timochenko) à la Rada suprême (parlement), rapporte le service de presse de Mme Timochenko.
La cérémonie d'investiture du nouveau président ukrainien Viktor Ianoukovitch a eu lieu le 25 février. La dissolution de la coalition avec le BIT à sa tête a été annoncée le 2 mars, et le lendemain la Rada a limogé le gouvernement Timochenko.
A l'heure actuelle, la création d'une nouvelle coalition et la formation d'un nouveau gouvernement se poursuivent au parlement. Si une nouvelle coalition n'est pas créée dans un délai de 30 jours après l'éclatement de la précédente, le président est en droit de dissoudre la Rada.
"Le compte à rebours a été déclenché le 2 mars dernier. Cela signifie que le décret peut être signé avant le 1er avril. Et le 30 mai, on devra se rendre aux urnes. Rien de réjouissant, en effet, mais que faire?", a déclaré mercredi Ivan Kirilenko, leader de la fraction du BIT (Bloc Ioulia Timochenko) à la Rada suprême (parlement), rapporte le service de presse de Mme Timochenko.
La cérémonie d'investiture du nouveau président ukrainien Viktor Ianoukovitch a eu lieu le 25 février. La dissolution de la coalition avec le BIT à sa tête a été annoncée le 2 mars, et le lendemain la Rada a limogé le gouvernement Timochenko.
A l'heure actuelle, la création d'une nouvelle coalition et la formation d'un nouveau gouvernement se poursuivent au parlement. Si une nouvelle coalition n'est pas créée dans un délai de 30 jours après l'éclatement de la précédente, le président est en droit de dissoudre la Rada.
Le Parti des régions promet de créer une nouvelle coalition du jour au lendemain, mais les partisans de Mme Timochenko sont persuadés de l'absence de voix requises pour sa formation.
