Le problème du fils de la Russe Inga Rantala en Finlande doit être résolu compte tenu des intérêts de sa famille, — a déclaré le ministre russe des AE Serguei Lavrov à l’issue des entretiens à Moscou avec son homologue finlandais Alexandre Stubb.
Le problème du jeune Robert Rantal placé en institution par les autorités de tutelle finlandaise, est du ressort ombudsmans des enfants. Les deux ministres des AE partagent ce point de vue. En même temps, Serguei Lavrov a attiré l’attention de son homologue finlandais sur le caractère récurrent de ces incidents qui arrivent aux enfants des familles mixtes russo-finlandaises.
Nous espérions que les autorités finlandaises prendront des décisions équitables visant à protéger les intérêts des enfants et l’intégrité des familles. Le cas échéant, nous sommes favorables à ce que ce problème soit examiné par les ombudsmans des enfants. Pavel Astakhov, ombudsman russe arrivera vers la mi-mars à Helsinki pour discuter tant de ce cas particulier que de l’ensemble des problèmes que pose l’adoption. Robert n’est pas du tout l’unique cas de figure. Nous pensons que le rencontre de deux ombudsmans permettra de définir les mesures à prendre pour mettre au point un mécanisme visant à régler ce genre de problèmes.
Le consul russe en Finlande a pu rencontrer le petit garçon à qui on a interdit de parler russe en présence des délégués sociaux finlandais et de l’interprète. On a même l’impression qu’on cherche à tenir l’enfant à l’écart aussi bien de ses parents que de la culture russe dans son ensemble. Ce petit garçon de 7 ans privé de ses parents est prêt à chercher de l’aide auprès des inconnus : « Quand me sauverez-vous? » -a-t-il demandé au consul russe. Les représentants de la Chambre civile russe ont également l’intention de sauver la famille russo-finlandaise. Ils déclarent que Velli-Pekka Rantala, le mari d’Inga et le père de Robert, se verra accorder la nationalité russe s’il dépose cette demande auprès des autorités. L’avocat russe Anatoli Koutcherena a fait ressortir que les autorités finlandaises qui ont repris le petit garçon à ses parents, se comportaient d’une façon inadmissible. Elles font entorse aux droits de l’enfant qui, du fait de cette « tutelle » renforcée, se trouve séparé de sa famille et de ses camarades de classe.
Le problème du jeune Robert Rantal placé en institution par les autorités de tutelle finlandaise, est du ressort ombudsmans des enfants. Les deux ministres des AE partagent ce point de vue. En même temps, Serguei Lavrov a attiré l’attention de son homologue finlandais sur le caractère récurrent de ces incidents qui arrivent aux enfants des familles mixtes russo-finlandaises.
Nous espérions que les autorités finlandaises prendront des décisions équitables visant à protéger les intérêts des enfants et l’intégrité des familles. Le cas échéant, nous sommes favorables à ce que ce problème soit examiné par les ombudsmans des enfants. Pavel Astakhov, ombudsman russe arrivera vers la mi-mars à Helsinki pour discuter tant de ce cas particulier que de l’ensemble des problèmes que pose l’adoption. Robert n’est pas du tout l’unique cas de figure. Nous pensons que le rencontre de deux ombudsmans permettra de définir les mesures à prendre pour mettre au point un mécanisme visant à régler ce genre de problèmes.
Le consul russe en Finlande a pu rencontrer le petit garçon à qui on a interdit de parler russe en présence des délégués sociaux finlandais et de l’interprète. On a même l’impression qu’on cherche à tenir l’enfant à l’écart aussi bien de ses parents que de la culture russe dans son ensemble. Ce petit garçon de 7 ans privé de ses parents est prêt à chercher de l’aide auprès des inconnus : « Quand me sauverez-vous? » -a-t-il demandé au consul russe. Les représentants de la Chambre civile russe ont également l’intention de sauver la famille russo-finlandaise. Ils déclarent que Velli-Pekka Rantala, le mari d’Inga et le père de Robert, se verra accorder la nationalité russe s’il dépose cette demande auprès des autorités. L’avocat russe Anatoli Koutcherena a fait ressortir que les autorités finlandaises qui ont repris le petit garçon à ses parents, se comportaient d’une façon inadmissible. Elles font entorse aux droits de l’enfant qui, du fait de cette « tutelle » renforcée, se trouve séparé de sa famille et de ses camarades de classe.