Les élections législatives de dimanche en Irak sont un fait. Selon des résultats partiels, la participation électorale a été d’environ 65 %. Le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, chef de l’Alliance de l’Etat de droit et du Parti de l’appel islamique « Ad-Daava » domine dans les régions chiites et son rival Iyad Allawi, leader du Bloc Irakien – chez les sunnites.
En somme, Iyad Allawi devance le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki. Il s’agit des sondages à la sortie des urnes, auxquels se réfèrent des chaînes de télévision satellitaires européennes et arabes. Des sources indépendantes à Bagdad ne confirment pas pour le moment cette information. M. Allawi dirigeait le gouvernement de transition après le renversement du régime de Saddam Hussein en 2003. A la veille du scrutin il était accrédité de 54% d’intentions de vote. M. Nouri al-Maliki donné favori de la course électorale s’est trouvé pour le moment en deuxième position. La Haute commission électorale d’Irak a appelé toutes les formations politiques du pays à attendre la publication des résultats officiels avant de se proclamer gagnante. Son chef Faraj al-Haidary a déclaré à Bagdad que les résultats des législatives allaient frayer la voie vers la nouvelle ère du système démocratique et une rotation pacifique du pouvoir.
Le chef de la mission de l’ONU d’assistance à l’Irak Ed Melkert a jugé les élections « transparentes ». A son avis les Irakiens, surtout à Bagdad ont dit résolument « non » à la violence. « Les Irakiens ont fait un grand pas dans le sens de la réconciliation nationale ».
Des mesures de sécurité exceptionnelles, prises dimanche par les autorités irakiennes et l’armée des Etats-Unis, n’ont pas pu, néanmoins, protéger les électeurs des attaques. 38 personnes ont péri et des dizaines d’autres ont été blessés à la suite des tirs d’obus et de roquettes contre des bureaux de vote. Rien qu’à Bagdad 40 mines ont explosé. Les rues étaient pourtant patrouillées par des centaines de milliers de militaires et de policiers.
En somme, Iyad Allawi devance le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki. Il s’agit des sondages à la sortie des urnes, auxquels se réfèrent des chaînes de télévision satellitaires européennes et arabes. Des sources indépendantes à Bagdad ne confirment pas pour le moment cette information. M. Allawi dirigeait le gouvernement de transition après le renversement du régime de Saddam Hussein en 2003. A la veille du scrutin il était accrédité de 54% d’intentions de vote. M. Nouri al-Maliki donné favori de la course électorale s’est trouvé pour le moment en deuxième position. La Haute commission électorale d’Irak a appelé toutes les formations politiques du pays à attendre la publication des résultats officiels avant de se proclamer gagnante. Son chef Faraj al-Haidary a déclaré à Bagdad que les résultats des législatives allaient frayer la voie vers la nouvelle ère du système démocratique et une rotation pacifique du pouvoir.
Le chef de la mission de l’ONU d’assistance à l’Irak Ed Melkert a jugé les élections « transparentes ». A son avis les Irakiens, surtout à Bagdad ont dit résolument « non » à la violence. « Les Irakiens ont fait un grand pas dans le sens de la réconciliation nationale ».
Des mesures de sécurité exceptionnelles, prises dimanche par les autorités irakiennes et l’armée des Etats-Unis, n’ont pas pu, néanmoins, protéger les électeurs des attaques. 38 personnes ont péri et des dizaines d’autres ont été blessés à la suite des tirs d’obus et de roquettes contre des bureaux de vote. Rien qu’à Bagdad 40 mines ont explosé. Les rues étaient pourtant patrouillées par des centaines de milliers de militaires et de policiers.
Les tentatives des extrémistes de déchaîner dimanche une guerre terroriste n’ont pas intimidé les Irakiens. Ils sont venus aux urnes, a constaté Iouri Kroupnov, président du conseil d’observation de l’Institut de la Démographie, de la migration et du développement régional.
La forte participation électorale est due à ce que l’objectif d’un système politique national équilibré se pose à l’ordre du jour en Irak. La majorité en est consciente. Dans ces conditions, il faut participer aux élections, sinon il y aura une déformation qui coûtera cher par la suite à toute la société irakienne.
Les résultats définitifs du scrutin sont attendus vers la fin du mois de mars.
La forte participation électorale est due à ce que l’objectif d’un système politique national équilibré se pose à l’ordre du jour en Irak. La majorité en est consciente. Dans ces conditions, il faut participer aux élections, sinon il y aura une déformation qui coûtera cher par la suite à toute la société irakienne.
Les résultats définitifs du scrutin sont attendus vers la fin du mois de mars.