L’homme d’affaires russe Alexandre Lebedev vient faire acquisition du journal britannique The Independent (l’Indépendant) et de son supplément dominical. Selon une autre édition londonienne – The Times – le marché a été conclu le 4 mars. Lebedev a l’intention d’investir des millions de livres sterling dans ce projet médiatique qui marche à perte. La direction du journal restera la même mais perdra l’indépendance dont il se réclame dans son titre.
Alexandre Lebedev a payé la symbolique livre sterling. Il y a un an il a acquis pour la même somme un autre journal londonien et notamment The London Evening Standard en devenant ainsi propriétaire de trois grands médias britanniques.
On s’attend à une réduction du prix du journal à la vente. Lebedev préfère ne pas dévoiler ses business plans mais ne dissimule rien au sujet de la politique des cadres. Les dirigeants des journaux nouvellement acquis resteront en place mais seront obligés de coordonner leur action avec le patron d’Evening Standard. De cette façon, l’Indépendant, comme le clame son titre, ne le sera pas dans les faits. On pense que Lebedev va confier la direction des organes de presse à des journalistes britanniques bien connus.
L’extension de la participation du patron des médias qui a réussi en Russie au business analogue en Grande Bretagne, est parfaitement compréhensible et ne coque nullement les experts. Gareguine Tossounien, président de l’Association des banques russes, pense que l’entrepreneur veut aller au-delà d’une démonstration de capital et des ambitions personnelles :
Alexandre Lebedev a payé la symbolique livre sterling. Il y a un an il a acquis pour la même somme un autre journal londonien et notamment The London Evening Standard en devenant ainsi propriétaire de trois grands médias britanniques.
On s’attend à une réduction du prix du journal à la vente. Lebedev préfère ne pas dévoiler ses business plans mais ne dissimule rien au sujet de la politique des cadres. Les dirigeants des journaux nouvellement acquis resteront en place mais seront obligés de coordonner leur action avec le patron d’Evening Standard. De cette façon, l’Indépendant, comme le clame son titre, ne le sera pas dans les faits. On pense que Lebedev va confier la direction des organes de presse à des journalistes britanniques bien connus.
L’extension de la participation du patron des médias qui a réussi en Russie au business analogue en Grande Bretagne, est parfaitement compréhensible et ne coque nullement les experts. Gareguine Tossounien, président de l’Association des banques russes, pense que l’entrepreneur veut aller au-delà d’une démonstration de capital et des ambitions personnelles :
Il veut infléchit une partie de l’opinion publique occidentale et c’est nettement plus positif que l’acquisition d’une équipe de foot. C’est un intellectuel qui sait bâtir des plans stratégiques. S’il a des plans, je crois qu’il les fera connaître plus tard.
Selon Lebedev lui-même, The Independent a son public ciblé constitué par environ cinq millions d’adeptes des valeurs libérales et démocratiques qu’il y aurait en Grande Bretagne. Ces lecteurs, l’intéressent au plus haut point. Les journaux qu’il avait achetés sont traditionnellement imprimés sur papier et non pas en version audio sur Internet. Il n’y a pas longtemps, Lebedev a eu un entretien avec le premier ministre britannique Gordon Brown qui a voulu « voir » personnellement le futur propriétaire de l’influente édition nationale. Le Russe aurait produit une bonne impression sur le premier britannique. Bientôt les Britanniques pourront évaluer le sens des affaires du nouveau propriétaire du journal indépendant.
Selon Lebedev lui-même, The Independent a son public ciblé constitué par environ cinq millions d’adeptes des valeurs libérales et démocratiques qu’il y aurait en Grande Bretagne. Ces lecteurs, l’intéressent au plus haut point. Les journaux qu’il avait achetés sont traditionnellement imprimés sur papier et non pas en version audio sur Internet. Il n’y a pas longtemps, Lebedev a eu un entretien avec le premier ministre britannique Gordon Brown qui a voulu « voir » personnellement le futur propriétaire de l’influente édition nationale. Le Russe aurait produit une bonne impression sur le premier britannique. Bientôt les Britanniques pourront évaluer le sens des affaires du nouveau propriétaire du journal indépendant.