Le voyage-éclair du nouveau président de l'Ukraine à Moscou, malgré son format réduit, portait le statut de visite officielle. Victor Ianoukovitch est venu dans la capitale russe pour discuter le principal. Il est venu avec une certitude que les relations de deux pays doivent changer rapidement.
Les problèmes que les deux présidents, Dmitri Medvedev et Victor Ianoukovitch devaient examiner pendant quelques heures, étaient bien nombreux. Une des questions les plus importantes pour l'Ukraine, dont le trésor public est pratiquement vide, — c’est le prix du gaz naturel russe. Kiev voudrait payer un tiers en moins par rapport au prix actuel. Le Gazprom russe, naturellement, n'y est pas intéressé. C'est pourquoi, la nouvelle direction ukrainienne doit proposer à Moscou quelque avantage en échange. Naturellement, l'Ukraine peut être un pont confortable, court et peu cher de transit dans tous les corridors énergétiques de liant la Russie et l'Union Européennes. Mais cela ne suffit pas. Il faut embrasser un éventail plus large de litiges accumulés ces dernières années entre les deux États. Le directeur général du Centre de l'étude de l'espace postsoviétique Alexeï Vlasov a parlé dans l'interview à «la Voix de la Russie» des plus évidents d'entre eux
En particulier, c’est le destin de la flotte de la mer Noire russe. Ianoukovitch peut remettre à plus tard la conversation à ce sujet, puisque le délai du séjour de la flotte en Crimée expire seulement en 2017, et ce ne sera plus sa présidence. Mais il est évident que plus vite on résoudra les problèmes sur la flotte, plus rassuré Moscou pourra se sentir du point de vue de la géopolitique de la région de la mer Noire. Mais c'est le facteur assez important. On peut aussi poser la question sur les intérêts du business russe en Ukraine. Sur les préférences que peuvent recevoir les compagnies russes, intéressées par le marché ukrainien assez problématique. Eh bien, et il est tout à fait évident, qu’il s’agit aussi de la question sur la levée des tensions au sujet des prétendues « guerres historiques» et en perspective — une prise de décision sur le statut de la langue russe.
Suivant les résultats des négociations, Victor Ianoukovitch a promis de régler la question sur la glorification des complices du fascisme avant la célébration du 65e anniversaire de la Victoire dans la Grande Guerre Patriotique. Il convient de rappeler que les autorités précédentes avaient attribué titre du héros de l'Ukraine au chef de l'Organisation des nationalistes ukrainiens Stepan Bandera et un autre complice des nazis — Roman Choukhevitch. Pendant la même conférence de presse, le président de Russie Dmitri Medvedev a déclaré que les consultations sur le séjour de la Flotte russe de la mer Noire en Crimée seraient poursuivies. En outre, les gouvernements des deux pays ont été chargés d'examiner la coopération non seulement dans la sphère gazière, mais aussi dans celle de l’énergie.
Les problèmes que les deux présidents, Dmitri Medvedev et Victor Ianoukovitch devaient examiner pendant quelques heures, étaient bien nombreux. Une des questions les plus importantes pour l'Ukraine, dont le trésor public est pratiquement vide, — c’est le prix du gaz naturel russe. Kiev voudrait payer un tiers en moins par rapport au prix actuel. Le Gazprom russe, naturellement, n'y est pas intéressé. C'est pourquoi, la nouvelle direction ukrainienne doit proposer à Moscou quelque avantage en échange. Naturellement, l'Ukraine peut être un pont confortable, court et peu cher de transit dans tous les corridors énergétiques de liant la Russie et l'Union Européennes. Mais cela ne suffit pas. Il faut embrasser un éventail plus large de litiges accumulés ces dernières années entre les deux États. Le directeur général du Centre de l'étude de l'espace postsoviétique Alexeï Vlasov a parlé dans l'interview à «la Voix de la Russie» des plus évidents d'entre eux
En particulier, c’est le destin de la flotte de la mer Noire russe. Ianoukovitch peut remettre à plus tard la conversation à ce sujet, puisque le délai du séjour de la flotte en Crimée expire seulement en 2017, et ce ne sera plus sa présidence. Mais il est évident que plus vite on résoudra les problèmes sur la flotte, plus rassuré Moscou pourra se sentir du point de vue de la géopolitique de la région de la mer Noire. Mais c'est le facteur assez important. On peut aussi poser la question sur les intérêts du business russe en Ukraine. Sur les préférences que peuvent recevoir les compagnies russes, intéressées par le marché ukrainien assez problématique. Eh bien, et il est tout à fait évident, qu’il s’agit aussi de la question sur la levée des tensions au sujet des prétendues « guerres historiques» et en perspective — une prise de décision sur le statut de la langue russe.
Suivant les résultats des négociations, Victor Ianoukovitch a promis de régler la question sur la glorification des complices du fascisme avant la célébration du 65e anniversaire de la Victoire dans la Grande Guerre Patriotique. Il convient de rappeler que les autorités précédentes avaient attribué titre du héros de l'Ukraine au chef de l'Organisation des nationalistes ukrainiens Stepan Bandera et un autre complice des nazis — Roman Choukhevitch. Pendant la même conférence de presse, le président de Russie Dmitri Medvedev a déclaré que les consultations sur le séjour de la Flotte russe de la mer Noire en Crimée seraient poursuivies. En outre, les gouvernements des deux pays ont été chargés d'examiner la coopération non seulement dans la sphère gazière, mais aussi dans celle de l’énergie.
Mais l'essentiel – c’est que Dmitri Medvedev est persuadé qu'après l'arrivée d'un nouveau pouvoir en Ukraine, sa coopération avec la Russie acquerra un nouveau dynamisme. «La période noire» dans les relations entre Moscou et Kiev s'est achevée : maintenant, elles seront fondées sur de bons sentiments des deux peuples amicaux et sur leur pragmatisme.