Le marché boursier russe redevient le plus attrayant dans le BRIC, groupant le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. La semaine dernière le volume des investissements étrangers dans les titres en Russie s’est chiffré à 214 millions de $, soit le meilleur indicateur d’entre les quatre pays, a constaté le journal russe « Kommersant ».
Au total depuis le début de l’année la bourse russe des valeurs a attiré plus de 420 millions de $. Même si les actions des principales sociétés russes ne connaissaient pas de fluctuations importantes, les sociétés occidentales préféraient en acquérir. Plusieurs facteurs les y encourageaient, remarque l’expert de l’Ecole supérieure de l’Economie Vassili Solodkov.
En plaçant des capitaux dans ce marché, les investisseurs espèrent évidemment que l’offre totale de moyens financiers conduise à un renchérissement des titres. D’autre part, vu la stabilité du rouble à ce moment et même son renforcement face aux deux principales monnaies, ils peuvent gagner bien à brève échéance.
Leur calcul repose sur les prix des matières premières sur le marché mondial, notamment du pétrole, qui restent assez élevés. Le prix du baril de la marque Brent est de près 80 $ et ne baissaient pas en dessous de 73 $ dans le courant de la semaine. De l’avis de l’expert russe, les actions de nombreuses sociétés russes sont considérablement sous-évaluées en ce moment, car la Russie a souffert plus que d’autres de la crise. La stabilité du rouble et les prix relativement élevés des matières premières les rendent plus attrayantes.
Au total depuis le début de l’année la bourse russe des valeurs a attiré plus de 420 millions de $. Même si les actions des principales sociétés russes ne connaissaient pas de fluctuations importantes, les sociétés occidentales préféraient en acquérir. Plusieurs facteurs les y encourageaient, remarque l’expert de l’Ecole supérieure de l’Economie Vassili Solodkov.
En plaçant des capitaux dans ce marché, les investisseurs espèrent évidemment que l’offre totale de moyens financiers conduise à un renchérissement des titres. D’autre part, vu la stabilité du rouble à ce moment et même son renforcement face aux deux principales monnaies, ils peuvent gagner bien à brève échéance.
Leur calcul repose sur les prix des matières premières sur le marché mondial, notamment du pétrole, qui restent assez élevés. Le prix du baril de la marque Brent est de près 80 $ et ne baissaient pas en dessous de 73 $ dans le courant de la semaine. De l’avis de l’expert russe, les actions de nombreuses sociétés russes sont considérablement sous-évaluées en ce moment, car la Russie a souffert plus que d’autres de la crise. La stabilité du rouble et les prix relativement élevés des matières premières les rendent plus attrayantes.
En dépit de la crise, l’infrastructure du marché boursier russe évolue heureusement à la faveur de la rénovation de la base législative, qui facilite le travail des investisseurs étrangers sur ce marché.
