La position des minorités nationales à Kosovo a dégradé lors de ces 2 dernières années qui ont écoulé après la déclaration de l’indépendance de l’autonomie kosovare. Telle est la conclusion d’un rapport de l’organisation de la défense des droits de l’homme Human Rights Watch. Le document dit, en particulier, que la mission européenne ne parvient pas à instaurer la suprématie du droit à Kosovo. Les rédacteurs du rapport ont pointé la nécessité d’appliquer beaucoup d’efforts de la part de Bruxelles et de Pristina dans le domaine des poursuites judiciaires de ceux qui avaient commis les plus graves crimes. En même temps, Human Rights Watch parle très peu de la communauté serbe qui compte néanmoins près de 100 mille personnes et dont la position à Kosovo est beaucoup plus pénible que des autres minorités nationales. Les seules références à la communauté serbe sont faites en relation aux mémoires de l’ancien procureur général du Tribunal de la Haye Carla del Ponte. Dans son rapport Mme del Ponte a parlé des 400 Serbes disparus dont un grand nombre pouvaient tomber victimes du trafic des organes humains. Mais, résume Human Rights Watch, Pristina refuse de reconnaitre ces faits et de mener l’investigation.
La position des minorités nationales à Kosovo a dégradé lors de ces 2 dernières années
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La position des minorités nationales à Kosovo a dégradé lors de ces 2 dernières années qui ont écoulé après la déclaration de l’indépendance de l’autonomie kosovare.