Les PME doivent devenir en Russie une base pour un développement innovant. Le président de la Fédération de Russie Dmitri Medvedev a parlé de cela pendant la rencontre avec les entrepreneurs dans sa résidence à Barvikha aux environs de Moscou.
Dans la conversation avec les businessmen, le chef de l'État a mis l’accent sur la nécessité de l'amélioration du climat d'investissements dans les branches les plus prometteuses de l'économie russe. Et en outre, ce ne sont pas les supermonopoles qui doivent former un tel climat, mais le petit et moyen business. En même temps, les données de la statistique n'inspirent pas de l'optimisme. En 2009, le volume total des investissements sur le marché de l'immobilier en Russie a fait moins de 800 millions d'euros. La part des investisseurs étrangers dans l'économie du pays n'a pas excédé quelques pour-cent du produit national brut (le PIB). Pour le pays, qui fixe devant lui-même les tâches du développement innovant et de l'augmentation de la compétitivité de ses produits sur le marché mondial, l’envergure et les rythmes ne sont évidemment pas suffisants.
Le président Medvedev a rappelé que récemment, il avait donné des directives concrètes pour l'amélioration de la situation. En particulier, on prépare le projet de la Loi Fédérale sur la simplification du régime de visas et des migrations pour les citoyens étrangers participant à la réalisation des projets d'investissements, des projets scientifiques et des hautes technologies sur le territoire de la Russie. On doit simplifier et perfectionner aussi les procédures douanières quand il s’agit de l'importation des produits des technologies de pointe. On peut et on doit donner au business étranger le feu vert notamment là où c'est plus rationnel pour la Russie, dit le professeur de l'École supérieure de l'économie Alexeï Krasavine dans l'interview de notre poste de radio.
Le problème principal qui freine l’afflux des investissements étrangers en Russie, c’est que la plupart d’étrangers souhaitent être propriétaires des entreprises en Russie, mais la législation en vigueur limite sérieusement leur part de la propriété. C'est-à-dire, l'investisseur étranger peut créer une nouvelle entreprise avec la participation de 100 pour-cent du capital étranger. Mais c'est difficile, c'est s risqué et l'essentiel – les délais de la compensation des frais seront de longue durée. Mais on peut acheter le business russe dont le prix a baissé et le développer. C'est un problème très sérieux. La politique d'État stimule l’afflux des investissements étrangers dans certains secteurs. La conclusion: il faut suivre attentivement le marché des investissements étrangers.
Dans la conversation avec les businessmen, le chef de l'État a mis l’accent sur la nécessité de l'amélioration du climat d'investissements dans les branches les plus prometteuses de l'économie russe. Et en outre, ce ne sont pas les supermonopoles qui doivent former un tel climat, mais le petit et moyen business. En même temps, les données de la statistique n'inspirent pas de l'optimisme. En 2009, le volume total des investissements sur le marché de l'immobilier en Russie a fait moins de 800 millions d'euros. La part des investisseurs étrangers dans l'économie du pays n'a pas excédé quelques pour-cent du produit national brut (le PIB). Pour le pays, qui fixe devant lui-même les tâches du développement innovant et de l'augmentation de la compétitivité de ses produits sur le marché mondial, l’envergure et les rythmes ne sont évidemment pas suffisants.
Le président Medvedev a rappelé que récemment, il avait donné des directives concrètes pour l'amélioration de la situation. En particulier, on prépare le projet de la Loi Fédérale sur la simplification du régime de visas et des migrations pour les citoyens étrangers participant à la réalisation des projets d'investissements, des projets scientifiques et des hautes technologies sur le territoire de la Russie. On doit simplifier et perfectionner aussi les procédures douanières quand il s’agit de l'importation des produits des technologies de pointe. On peut et on doit donner au business étranger le feu vert notamment là où c'est plus rationnel pour la Russie, dit le professeur de l'École supérieure de l'économie Alexeï Krasavine dans l'interview de notre poste de radio.
Le problème principal qui freine l’afflux des investissements étrangers en Russie, c’est que la plupart d’étrangers souhaitent être propriétaires des entreprises en Russie, mais la législation en vigueur limite sérieusement leur part de la propriété. C'est-à-dire, l'investisseur étranger peut créer une nouvelle entreprise avec la participation de 100 pour-cent du capital étranger. Mais c'est difficile, c'est s risqué et l'essentiel – les délais de la compensation des frais seront de longue durée. Mais on peut acheter le business russe dont le prix a baissé et le développer. C'est un problème très sérieux. La politique d'État stimule l’afflux des investissements étrangers dans certains secteurs. La conclusion: il faut suivre attentivement le marché des investissements étrangers.
Le président Medvedev a évoqué un autre aspect de ce problème. Pour une activité normale et efficace du business étranger à l'intérieur de Russie, certaines conditions sont nécessaires. Il s’agit, avant tout, d’une lutte impitoyable contre la corruption, de la mise au point de l'activité des structures de maintien de l'ordre, l'éradication des cas de l’usurpation de la propriété et d'autres actions illégales. Il est temps d’en finir avec ces travers, a déclaré catégoriquement Dmitri Medvedev à la rencontre avec les entrepreneurs.