Un accord à long terme dans la sphère militaro-technique focalise l’attention des présidents de Russie et du Liban Dmitri Medvedev et Michel Souleiman qui se sont entretenus jeudi à Moscou. Les leaders des deux pays ont adopté la déclaration conjointe sur le développement des rapports d’amitié et la coopération.
La coopération militaro-technique entre Moscou et Beyrouth est insuffisamment dynamique et l’accord que les parties projettent de conclure sera le premier document bilatéral à long terme. Le chef du Service fédéral pour la coopération militaro-technique Mikhaïl Dmitriev a souligné qu’il n’était pas prévu de livrer les armes au Liban. Le déminage du territoire libanais par les spécialistes russes constituera, le plus probablement, une clause très importante de l’accord. La situation au Liban est instable depuis les années 1970, a dit à notre correspondant l’orientaliste Vladimir Issaev.
Tous les militaires stationnés au Liban entouraient leurs positions de mines et le sol libanais est farci d’obus dont il faut se débarrasser. Il n’existe pas de tels spécialistes au Liban et c’est pour ça qu’il a demandé un concours international. Le déminage est un processus au plus haut point compliqué et dangereux. Tous les pays ne se montrent pas disposés à prêter un tel concours. Les mines, les obus, les bombes inexplosés peuvent détonner à tout moment. Les militaires russes ont aidé à relever l’infrastructure libanaise, notamment les ponts, et les Libanais sont satisfaits des résultats. Maintenant ils s’adressent à nos sapeurs pour qu’ils leur prêtent un concours efficace. Qui plus est, nos spécialistes peuvent instruire les sapeurs libanais.
Certes, Moscou et Beyrouth coopèrent non seulement dans la sphère militaro-technique. Dmitri Medvedev et de Michel Souleiman ont réaffirmé dans la déclaration conjointe la disposition de la Russie et du Liban à étendre les liens bilatéraux dans l’économie, le commerce, les investissements, le secteur énergétique et le tourisme et à raffermir les liens culturels traditionnels russo-libanais.
La coopération militaro-technique entre Moscou et Beyrouth est insuffisamment dynamique et l’accord que les parties projettent de conclure sera le premier document bilatéral à long terme. Le chef du Service fédéral pour la coopération militaro-technique Mikhaïl Dmitriev a souligné qu’il n’était pas prévu de livrer les armes au Liban. Le déminage du territoire libanais par les spécialistes russes constituera, le plus probablement, une clause très importante de l’accord. La situation au Liban est instable depuis les années 1970, a dit à notre correspondant l’orientaliste Vladimir Issaev.
Tous les militaires stationnés au Liban entouraient leurs positions de mines et le sol libanais est farci d’obus dont il faut se débarrasser. Il n’existe pas de tels spécialistes au Liban et c’est pour ça qu’il a demandé un concours international. Le déminage est un processus au plus haut point compliqué et dangereux. Tous les pays ne se montrent pas disposés à prêter un tel concours. Les mines, les obus, les bombes inexplosés peuvent détonner à tout moment. Les militaires russes ont aidé à relever l’infrastructure libanaise, notamment les ponts, et les Libanais sont satisfaits des résultats. Maintenant ils s’adressent à nos sapeurs pour qu’ils leur prêtent un concours efficace. Qui plus est, nos spécialistes peuvent instruire les sapeurs libanais.
Certes, Moscou et Beyrouth coopèrent non seulement dans la sphère militaro-technique. Dmitri Medvedev et de Michel Souleiman ont réaffirmé dans la déclaration conjointe la disposition de la Russie et du Liban à étendre les liens bilatéraux dans l’économie, le commerce, les investissements, le secteur énergétique et le tourisme et à raffermir les liens culturels traditionnels russo-libanais.