Le président Nicolas Sarkozy est intervenu dans le conflit social chez Total, exigeant du groupe pétrolier des engagements sur le maintien du raffinage en France, au septième jour d'une grève qui menace de s'étendre et de provoquer une pénurie d'essence dans le pays.
"Le gouvernement souhaite des engagements de la part de Total sur la non fermeture de capacités de raffinage pour les années qui viennent, c'est ce qu'a demandé le président" au directeur général de Total Christophe de Margerie, convoqué mardi au Palais de l'Elysée, a indiqué Luc Chatel, porte-parole du gouvernement.
"Le gouvernement souhaite des engagements de la part de Total sur la non fermeture de capacités de raffinage pour les années qui viennent, c'est ce qu'a demandé le président" au directeur général de Total Christophe de Margerie, convoqué mardi au Palais de l'Elysée, a indiqué Luc Chatel, porte-parole du gouvernement.