Les activités essentielles du ministère de l’Intérieur de Russie consistent à lutter contre le crime et à assurer l’ordre public. Toutes les autres fonctions auxiliaires et étrangères à la police doivent être exclues. Le président de Russie Dimitri Medvedev a parlé de la réforme lors de l’assemblée de hauts responsables du ministère.
Le gouvernement est chargé d’élaborer et de soumettre avant le 1er décembre 2010 à la chambre basse du parlement un projet de loi fédéral sur la police. Nombre d’instructions concrètes a été donné au ministre de l’Intérieur. Il s’agit, en particulier, de réduire de près de deux fois l’importance numérique des cadres de subordination centrale du ministère. A la fois les agents du ministère seront mieux rémunérés. En même temps le président a soumis à la chambre basse des amendements à la législation pénale, ainsi que nombre de projets de loi touchant la réforme de la police. Une attention spéciale y est accordée à la lutte anti-corruption. C’est l’objectif que poursuit le récent décret présidentiel.
La responsabilité des agents du ministère doit être renforcée à tous les niveaux. Ainsi j’ai proposé un projet de loi prévoyant que le fait d’être un agent du ministère de l’Intérieur soit considéré comme un facteur pénal aggravant, si celui-ci commet un crime. Il faut lutter avec sévérité contre ceux qui enfreignent la discipline, qui n’obéissent pas à l’ordre de leur supérieur, donné en bonne et due forme et ne contredisant pas la loi. Sur ce point il faut se référer à la pratique au ministère de la Défense et au FSB.
Le chef de l’Etat a relevé qu’il entendait contrôler personnellement le déroulement de la réforme du ministère de l’Intérieur. Les experts considèrent le ton dur du président comme une réaction naturelle à une série de scandales à grande résonnance publique indiquant que la police russe avait besoin d’être réformée.
Le gouvernement est chargé d’élaborer et de soumettre avant le 1er décembre 2010 à la chambre basse du parlement un projet de loi fédéral sur la police. Nombre d’instructions concrètes a été donné au ministre de l’Intérieur. Il s’agit, en particulier, de réduire de près de deux fois l’importance numérique des cadres de subordination centrale du ministère. A la fois les agents du ministère seront mieux rémunérés. En même temps le président a soumis à la chambre basse des amendements à la législation pénale, ainsi que nombre de projets de loi touchant la réforme de la police. Une attention spéciale y est accordée à la lutte anti-corruption. C’est l’objectif que poursuit le récent décret présidentiel.
La responsabilité des agents du ministère doit être renforcée à tous les niveaux. Ainsi j’ai proposé un projet de loi prévoyant que le fait d’être un agent du ministère de l’Intérieur soit considéré comme un facteur pénal aggravant, si celui-ci commet un crime. Il faut lutter avec sévérité contre ceux qui enfreignent la discipline, qui n’obéissent pas à l’ordre de leur supérieur, donné en bonne et due forme et ne contredisant pas la loi. Sur ce point il faut se référer à la pratique au ministère de la Défense et au FSB.
Le chef de l’Etat a relevé qu’il entendait contrôler personnellement le déroulement de la réforme du ministère de l’Intérieur. Les experts considèrent le ton dur du président comme une réaction naturelle à une série de scandales à grande résonnance publique indiquant que la police russe avait besoin d’être réformée.
A la fois le président a rappelé les réalisations des policiers russes. Il a noté que grâce pour beaucoup aux efforts de la police la crise économique et financière mondiale n’a pas provoqué une hausse de la criminalité. Le chef de l’Etat a dit sa reconnaissance aux agents du ministère pour leur attitude consciencieuse envers le devoir, ainsi que pour leurs opérations anti-terrorisme réussies.
