Parmi les plus grands apports d’aide au peuple de l’Haïti, on doit noter le travail des médecins russes du Fonds international, dirigé par Leonid Rochal. C’est l’avis de l’association dominicaine de l’ONU et du Président de la République dominicaine Leonel Fernandez Reyna. Depuis plusieurs semaines déjà, les médecins russes du Fonds international de secours à l’enfance sur le territoire dominicain, sauvent les vies et la santé des petits enfants victimes du tremblement de terre à Haïti. Les commentaires par Leonid Rochal, donnés lors de son interview à notre radio : « Notre brigade des médecins de haute qualification possède une expérience colossale d’aide aux enfants lors des catastrophes et des guerres dans tous les coins du monde de l’Algérie au Japon. Après le tremblement de terre à Haïti nous avons tout de suite pensé de les aider. A la différence du Ministère russe des Situations d’urgence, nous travaillons sans protection dans les hôpitaux locaux. Et, au début, la situation à l’Haïti était telle qu’il était tout simplement dangereux d’y envoyer les médecins. Et là nous avons appris qu’il y avait un grand nombre d’Haïtiens dans la voisine République dominicaine. Nous avons vite concordé toutes les formalités et notre brigade pédiatrique est partie dans ce pays ».
D’abord les médecins russes ont passé par la zone frontalière entre l’Haïti et la République dominicaine. Ils ont examiné les enfants, les ont soigné et ont consulté les médecins locaux. Puis ils ont rassemblé les patients les plus graves dans un hôpital et se sont mis au travail. Il fallait non seulement sauver les vies des enfants mais également d’appliquer le traitement le plus gracieux, en évitant au maximum l’amputation des membres. Le travail intense des médecins se déroulait 24h/24, continue Leonid Rochal.
« Les médecins russes ont effectué près de 400 opérations et bandages sous anesthésie. Aucun enfant n’est mort et les médecins n’ont fait aucune amputation. L’association dominicaine de l’ONU et les autres organisations non-gouvernementales locales ont hautement apprécié notre travail. L’ambassadeur de l’Haïti en République dominicaine a sincèrement remercié les médecins russes pour l’aide qu’ils avaient apportée en disant qu’il n’a jamais vu rien de pareil. A la demande de l’UNICEF, nous avons prolongé la présence de notre brigade en République pour aider les enfants qui seront transportés des autres régions », a t-il dit.
Le docteur Rochal a noté que tous les frais matériaux sont payés par le Fonds international de secours à l’enfance, tandis que les médecins russes travaillent comme volontaires. Les médecins dominicains et les autres spécialistes qui ont jadis étudié en Union soviétique ou en Russie, et parlent russe, apportent le soutien nécessaire.
D’abord les médecins russes ont passé par la zone frontalière entre l’Haïti et la République dominicaine. Ils ont examiné les enfants, les ont soigné et ont consulté les médecins locaux. Puis ils ont rassemblé les patients les plus graves dans un hôpital et se sont mis au travail. Il fallait non seulement sauver les vies des enfants mais également d’appliquer le traitement le plus gracieux, en évitant au maximum l’amputation des membres. Le travail intense des médecins se déroulait 24h/24, continue Leonid Rochal.
« Les médecins russes ont effectué près de 400 opérations et bandages sous anesthésie. Aucun enfant n’est mort et les médecins n’ont fait aucune amputation. L’association dominicaine de l’ONU et les autres organisations non-gouvernementales locales ont hautement apprécié notre travail. L’ambassadeur de l’Haïti en République dominicaine a sincèrement remercié les médecins russes pour l’aide qu’ils avaient apportée en disant qu’il n’a jamais vu rien de pareil. A la demande de l’UNICEF, nous avons prolongé la présence de notre brigade en République pour aider les enfants qui seront transportés des autres régions », a t-il dit.
Le docteur Rochal a noté que tous les frais matériaux sont payés par le Fonds international de secours à l’enfance, tandis que les médecins russes travaillent comme volontaires. Les médecins dominicains et les autres spécialistes qui ont jadis étudié en Union soviétique ou en Russie, et parlent russe, apportent le soutien nécessaire.
