La Russie estime indispensable que la Station Spatiale Internationale (ISS) reste en service au moins jusqu’à 2020. C’est ce qu’a déclaré dans une interview à la Voix de la Russie le chef de l’Agence fédérale spatiale Anatoli Perminov qu’on avait demandé de commenter la récente décision des Etats-Unis de renoncer à la mise en œuvre du programme Constellation, ayant pour objectif des vols vers la Lune et Mars. Le chef de Roscosmos a de même annoncé que la Russie poursuivrait la construction du cosmodrome Vostotchny (Oriental). Cela permettra de reporter tout le programme spatial, surtout en matière des vols habités, en territoire de Russie.
La Maison Blanche continuera de financer l’exploitation du segment américain de la Station Spatiale Internationale pendant encore 10 ans. Et si les possibilités techniques des éléments le permettent, la station pourra servir jusqu’à 2028. Pour la Russie qui est le deuxième participant aux activités de l’ISS, cette décision est très importante, a déclaré M. Perminov.
Elle coïncide avec nos vues sur les programmes pilotés et sur le programme fédéral spatial Russie quant aux délais de son application et à sa vocation. Nous souhaitions toujours exploiter l’ISS jusqu’à au moins 2020. D’importants moyens financiers et de nouvelles technologies ont été investis dans le laboratoire orbital. Il y a seulement douze mois ont été mis en orbite et connectés à l’ISS les modules des Agences Spatiales Européenne et Nipponne, et l’année prochaine sera mis en service encore un grand module russe. Les recherches à bord de la station ne font que commencer.
Roscosmos confirme les engagements pris au sujet de location du cosmodrome Baïkonour en territoire du Kazakhstan et ne planifie pas de l’abandonner. En même temps la Russie doit créer son nouveau cosmodrome, a dit le chef de Roscosmos Anatoli Perminov.
La Maison Blanche continuera de financer l’exploitation du segment américain de la Station Spatiale Internationale pendant encore 10 ans. Et si les possibilités techniques des éléments le permettent, la station pourra servir jusqu’à 2028. Pour la Russie qui est le deuxième participant aux activités de l’ISS, cette décision est très importante, a déclaré M. Perminov.
Elle coïncide avec nos vues sur les programmes pilotés et sur le programme fédéral spatial Russie quant aux délais de son application et à sa vocation. Nous souhaitions toujours exploiter l’ISS jusqu’à au moins 2020. D’importants moyens financiers et de nouvelles technologies ont été investis dans le laboratoire orbital. Il y a seulement douze mois ont été mis en orbite et connectés à l’ISS les modules des Agences Spatiales Européenne et Nipponne, et l’année prochaine sera mis en service encore un grand module russe. Les recherches à bord de la station ne font que commencer.
Roscosmos confirme les engagements pris au sujet de location du cosmodrome Baïkonour en territoire du Kazakhstan et ne planifie pas de l’abandonner. En même temps la Russie doit créer son nouveau cosmodrome, a dit le chef de Roscosmos Anatoli Perminov.
Cela veut dire que tout le programme spatial sera transféré en territoire de Russie. Si le financement ne change pas, le premier lancement depuis le cosmodrome Vostotchny aura lieu en 2015, ce qui va assurer à la Russie une sortie indépendante dans l’Espace.