Le président de Russie Dmitri Medvedev a rencontré le président du « groupe de sages » de l’Union européenne Felipe Gonsales dans sa résidence Barvikha aux environs de Moscou. Nous discuterons l’évolution des relations entre la Russie et l’UE qui est notre partenaire important », a dit Medvedev en inaugurant la rencontre.
« le groupe de sages » a été créé en 2008 pour analyser les perspectives de l’intégration européenne. L’ancien chef du gouvernement espagnol Felipe Gonsales a été nommé son président, l’ex-présidente de Lettonie, Vaira Vike-Freiberga, et la présidente du conseil de directeurs de la corporation « Nokia » Jorma Ollila sont ses adjoints. En tout, douze personnes les plus dignes de l’Europe participent au travail du groupe. Le mandat des « sages » est focalisé sur le développement économique et social de l’UE et l’assurance de sa sécurité. Le dernier terme est traité de façon très large, il comprend la sécurité énergétique, la lutte contre le crime organisé, contre le terrorisme etc.
Avant l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne, l’UE est devenu une personnalité juridique au niveau international. Donc, prochainement, il est prévu de créer un département de politique extérieure de l’union. Tenant compte de l’importance de ces changements pour l’UE et les priorités de son interaction avec la Russie, le président russe Dmitri Medvedev a proposé d’élaborer un programme de partenariat pour la modernisation avec l’Europe unie. Il a noté quatre priorités russes ; l’évolution technologique et l’échange en technologies, y compris l’énergie dite « verte », la compatibilité des règles techniques jusqu’à l’emprunt direct des certaines règles techniques de l’UE, l’assistance à l’entrée de Russie à l’OMC, la facilitation des contacts entre les personnes et la progression vers un régime sans visas.
Olga Potemkina, expert russe ; spécialiste du centre de l’intégration européenne de l’Institut de l’Europe sous l’égide de l’académie des sciences russe explique la situation en ce qui concerne le dernier point :
« le groupe de sages » a été créé en 2008 pour analyser les perspectives de l’intégration européenne. L’ancien chef du gouvernement espagnol Felipe Gonsales a été nommé son président, l’ex-présidente de Lettonie, Vaira Vike-Freiberga, et la présidente du conseil de directeurs de la corporation « Nokia » Jorma Ollila sont ses adjoints. En tout, douze personnes les plus dignes de l’Europe participent au travail du groupe. Le mandat des « sages » est focalisé sur le développement économique et social de l’UE et l’assurance de sa sécurité. Le dernier terme est traité de façon très large, il comprend la sécurité énergétique, la lutte contre le crime organisé, contre le terrorisme etc.
Avant l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne, l’UE est devenu une personnalité juridique au niveau international. Donc, prochainement, il est prévu de créer un département de politique extérieure de l’union. Tenant compte de l’importance de ces changements pour l’UE et les priorités de son interaction avec la Russie, le président russe Dmitri Medvedev a proposé d’élaborer un programme de partenariat pour la modernisation avec l’Europe unie. Il a noté quatre priorités russes ; l’évolution technologique et l’échange en technologies, y compris l’énergie dite « verte », la compatibilité des règles techniques jusqu’à l’emprunt direct des certaines règles techniques de l’UE, l’assistance à l’entrée de Russie à l’OMC, la facilitation des contacts entre les personnes et la progression vers un régime sans visas.
Olga Potemkina, expert russe ; spécialiste du centre de l’intégration européenne de l’Institut de l’Europe sous l’égide de l’académie des sciences russe explique la situation en ce qui concerne le dernier point :
Simplifier encore des contacts humains pour en venir finalement à un régime sans visas reste un sujet d’actualité bien sensible dans les rapports entre la Russie et l’UE. A partir du deuxième semestre 2010 la Russie s’engage à retourner tous les immigrés clandestins en territoire de l’UE ayant transité par le territoire russe. C’est un engagement assez difficile sur le plan moral et financier. En échange la Russie comptait obtenir un régime sans visas avec l’UE. Or pour le moment on ne voit aucun progrès dans ce sens. Car cela a une très grande signification politique pour le développement du partenariat entre la Russie et l’UE.
L’on sait, souligne l’experte, que l’Espagne est l’adepte fervente de l’introduction d’un régime sans visas. Or pour mettre en œuvre ce rêve ancien des touristes russes, il faudra aussi l’accord de tous les autres membres de l’UE.
La rencontre de ce mardi entre le président russe et le chef du « groupe des sages » de l’UE a été un nouveau pas en matière de rapprochement entre la nouvelle Europe et la Russie nouvelle. Au menu de la rencontre figuraient : le partenariat dans la solution des problèmes globaux de notre temps, l’initiative de Dimitri Medvedev pour conclure le Traité de sécurité européen, le régime des voyages sans visas pour les citoyens, l’essor institutionnel de l’UE. Tous ces thèmes ont été examinés dans l’optique de la stratégie de développement économique de la Russie jusqu’à 2020 et celle de l’UE pour 2010-2020.
L’on sait, souligne l’experte, que l’Espagne est l’adepte fervente de l’introduction d’un régime sans visas. Or pour mettre en œuvre ce rêve ancien des touristes russes, il faudra aussi l’accord de tous les autres membres de l’UE.
La rencontre de ce mardi entre le président russe et le chef du « groupe des sages » de l’UE a été un nouveau pas en matière de rapprochement entre la nouvelle Europe et la Russie nouvelle. Au menu de la rencontre figuraient : le partenariat dans la solution des problèmes globaux de notre temps, l’initiative de Dimitri Medvedev pour conclure le Traité de sécurité européen, le régime des voyages sans visas pour les citoyens, l’essor institutionnel de l’UE. Tous ces thèmes ont été examinés dans l’optique de la stratégie de développement économique de la Russie jusqu’à 2020 et celle de l’UE pour 2010-2020.