Le président Dmitri Medvedev a déploré le fait que l'année passée, mauvaise pour l’économie, l'afflux des investissements en Russie a baissé de 41 pour-cent. On a tout de même réussi à éviter l'évasion panique du capital, a remarqué le président, en se produisant mardi à la conférence sur le climat d'investissements.
La Russie, a déclaré Dmitri Medvedev, doit surmonter ces facteurs qui ont une influence négative sur le climat d'investissements, comme la qualité insuffisante de la gestion étatique et locale, la pratique juridique inefficace, la corruption, la criminalité économique, les barrières administratives, techniques excessives et un très haut niveau de monopolisme.
Evoquant la réduction du volume des investissements étrangers dans l'économie russe, le président a souligné que cet état de choses caractérisait toute l'économie mondiale.
La Russie, a déclaré Dmitri Medvedev, doit surmonter ces facteurs qui ont une influence négative sur le climat d'investissements, comme la qualité insuffisante de la gestion étatique et locale, la pratique juridique inefficace, la corruption, la criminalité économique, les barrières administratives, techniques excessives et un très haut niveau de monopolisme.
Evoquant la réduction du volume des investissements étrangers dans l'économie russe, le président a souligné que cet état de choses caractérisait toute l'économie mondiale.
Le président de Russie a chargé le gouvernement de contrôler la participation des grosses compagnies russes qui reçoivent le soutien de l'État aux projets de la modernisation du pays:
L'État a soutenu l'année passée le développement des grosses compagnies, pour l'essentiel, dans le secteur des matières premières, mais non seulement, bien sûr. Pour leur soutien, il a fallu dépenser les réserves d'État considérables accumulées avant la crise. Ces compagnies ont gardé leurs actifs, mais bien plus : elles y ont ajouté quelque chose. C'est pourquoi, l'État a le droit de compter que ces compagnies, après avoir bénéficié d’un soutien de l'État, s'occuperont des projets d'investissements et se montreront actives en matière de la modernisation de l'économie russe.
Les compagnies, selon l'expression imagée de Dmitri Medvedev "dorment". C'est pourquoi, on confie au gouvernement la mission les réveiller et de les pousser vers la participation à la modernisation du pays.
L'État a soutenu l'année passée le développement des grosses compagnies, pour l'essentiel, dans le secteur des matières premières, mais non seulement, bien sûr. Pour leur soutien, il a fallu dépenser les réserves d'État considérables accumulées avant la crise. Ces compagnies ont gardé leurs actifs, mais bien plus : elles y ont ajouté quelque chose. C'est pourquoi, l'État a le droit de compter que ces compagnies, après avoir bénéficié d’un soutien de l'État, s'occuperont des projets d'investissements et se montreront actives en matière de la modernisation de l'économie russe.
Les compagnies, selon l'expression imagée de Dmitri Medvedev "dorment". C'est pourquoi, on confie au gouvernement la mission les réveiller et de les pousser vers la participation à la modernisation du pays.
