Le président de Russie Dimitri Medvedev a entériné la Doctrine nationale de sécurité alimentaire. Vers 2020, quand elle sera appliquée, la Russie se suffira entièrement en denrées alimentaires de production intérieure.
Nombreux sont les spécialistes russe à voir dans cette Doctrine un programme de renaissance de la Russie comme une grande puissance agraire. C’est ce que juge le chef adjoint du comité du Conseil de Fédération pour la politique agraire Sergueï Lissovski.
En réalité nous sommes en mesure de nourrir à part soi encore l’Europe. D’ailleurs, dans leurs récentes déclarations des hommes politiques occidentaux reconnaissent que dans 10 à 15 ans il en sera ainsi.
La Doctrine nationale de sécurité alimentaire prévoit que vers 2020 sur le marché russe il y aura au moins 95 % de blé, 80 % du sucre, de l’huile et du poisson, 85% de la viande et de la boucherie, produits en Russie. Le document ébauche également les risques, qui peuvent sensiblement affaiblir la sécurité alimentaire du pays. Il s’agit d’éventuelles réductions des investissements et de la dépendance de la conjoncture extérieure. A la fois les analystes voient d’assez bonnes perspectives d’investissements intérieurs dans le secteur agraire russe. Selon M. Lissovski, cette branche procure un profit stable à longue échéance.
Nombreux sont les spécialistes russe à voir dans cette Doctrine un programme de renaissance de la Russie comme une grande puissance agraire. C’est ce que juge le chef adjoint du comité du Conseil de Fédération pour la politique agraire Sergueï Lissovski.
En réalité nous sommes en mesure de nourrir à part soi encore l’Europe. D’ailleurs, dans leurs récentes déclarations des hommes politiques occidentaux reconnaissent que dans 10 à 15 ans il en sera ainsi.
La Doctrine nationale de sécurité alimentaire prévoit que vers 2020 sur le marché russe il y aura au moins 95 % de blé, 80 % du sucre, de l’huile et du poisson, 85% de la viande et de la boucherie, produits en Russie. Le document ébauche également les risques, qui peuvent sensiblement affaiblir la sécurité alimentaire du pays. Il s’agit d’éventuelles réductions des investissements et de la dépendance de la conjoncture extérieure. A la fois les analystes voient d’assez bonnes perspectives d’investissements intérieurs dans le secteur agraire russe. Selon M. Lissovski, cette branche procure un profit stable à longue échéance.
Le décret du président Medvedev souligne que l’un des objectifs de la Doctrine nationale est une participation effective à la coopération internationale dans la sphère de sécurité alimentaire. Possédant un potentiel agricole unique, la Russie consent un maximum d’efforts pour se suffire elle-même, mais aussi pour aider d’autres pays.