Barack Obama poursuit les attaques contre les banques. Le président américain a déclaré au Congrès qu’au lieu de punir les banques américaines, il entendait les réformer. Le projet de loi sur la réforme financière ne supposant pas une réforme réelle devra être finalisé au Congrès, a dit le président des Etats-Unis.
Barack Obama ne dissimule pas son attitude envers les banques et présente maintenant les initiatives concrètes. Il propose, en particulier, d’introduire un impôt spécial pour compenser les pertes de l’Etat suite au programme d’assainissement du système financier. Le président propose, en outre, de réduire aux frais bancaires les passifs des grandes banques et le commerce de titres.
De telles initiatives peuvent avoir des conséquences sérieuses, estime le conseiller du directeur gérant de la compagnie Interros Alexandre Astapovitch.
Les initiatives, c’est sans doute en quelque sorte du populisme. Si l’Etat s’ingère dans le fonctionnement normal du secteur bancaire, cela nuira à l’économie dans son ensemble.
Barack Obama ne dissimule pas son attitude envers les banques et présente maintenant les initiatives concrètes. Il propose, en particulier, d’introduire un impôt spécial pour compenser les pertes de l’Etat suite au programme d’assainissement du système financier. Le président propose, en outre, de réduire aux frais bancaires les passifs des grandes banques et le commerce de titres.
De telles initiatives peuvent avoir des conséquences sérieuses, estime le conseiller du directeur gérant de la compagnie Interros Alexandre Astapovitch.
Les initiatives, c’est sans doute en quelque sorte du populisme. Si l’Etat s’ingère dans le fonctionnement normal du secteur bancaire, cela nuira à l’économie dans son ensemble.
Le président français Nicolas Sarkozy n’est pas resté à l’écart ayant appelé en ouvrant le Forum économique à Davos à réviser les règles pour les banques pour réduire les risques et l’ampleur des spéculations.
L’actuel Forum à Davos est le champ de bataille des banquiers contre tous ceux qui cherchent à limiter leur pouvoir.
Fait révélateur : l’examen des initiatives d’Obama au Forum a débouché finalement sur des pronostics. En ce qui concerne la régulation bancaire, il est peu probable que les grandes puissances parviennent à se mettre d’accord. Chaque pays sera contraint de réduire l’ampleur du business de ses institutions financières.
L’actuel Forum à Davos est le champ de bataille des banquiers contre tous ceux qui cherchent à limiter leur pouvoir.
Fait révélateur : l’examen des initiatives d’Obama au Forum a débouché finalement sur des pronostics. En ce qui concerne la régulation bancaire, il est peu probable que les grandes puissances parviennent à se mettre d’accord. Chaque pays sera contraint de réduire l’ampleur du business de ses institutions financières.