Améliorer le travail de la police et enseigner la tolérance sont les deux moyens préconisés par le premier ministre russe Vladimir Poutine, en visite à Tcheboksary, capitale de la Tchouvachie, pour combattre la xénophobie.
"Il faut intensifier les activités des forces de l'ordre, tout en dispensant une éducation axée contre la xénophobie et en expliquant aux gens que la Russie s'est formée et s'est développée en tant que pays multiethnique et multiconfessionnel", a-t-il déclaré lundi en répondant à un étudiant étranger de l'Université nationale de Tcheboksary qui a avoué avoir peur de sortir le soir dans la rue.
"Ce problème ne date pas d'hier. Malheureusement, nous connaissons beaucoup de cas d'agressions contre les étudiants étrangers", a avoué le chef du gouvernement russe, ajoutant que "les autorités réagissaient à ces épisodes tragiques" et que "cette réaction était adéquate à la menace".
"Il faut intensifier les activités des forces de l'ordre, tout en dispensant une éducation axée contre la xénophobie et en expliquant aux gens que la Russie s'est formée et s'est développée en tant que pays multiethnique et multiconfessionnel", a-t-il déclaré lundi en répondant à un étudiant étranger de l'Université nationale de Tcheboksary qui a avoué avoir peur de sortir le soir dans la rue.
"Ce problème ne date pas d'hier. Malheureusement, nous connaissons beaucoup de cas d'agressions contre les étudiants étrangers", a avoué le chef du gouvernement russe, ajoutant que "les autorités réagissaient à ces épisodes tragiques" et que "cette réaction était adéquate à la menace".