L’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a reçu un nouveau président – l’ancien chef de la délégation turque Mevlut Cavusoglu. La décision a été votée à majorité des voix à la session d’hiver de l’APCE, qui a entamé ses travaux le 25 janvier à Strasbourg.
Le nouveau président qui a le mandat pour deux ans, remplace à ce poste le socialiste espagnol Lluis Maria de Puig.
M. Cavusoglu représente le Groupe démocrate européen qui comprend aussi la plupart des députés russes. Avant l’ouverture de la session le chef de la délégation russe Konstantin Kossatchev a déclaré que Moscou soutenait cette candidature. D’après lui, M. Cavusoglu a la réputation d’un homme politique compétent et responsable, qui se prononce avec esprit de suite pour une Europe sans clivages.
Le nouveau président qui a le mandat pour deux ans, remplace à ce poste le socialiste espagnol Lluis Maria de Puig.
M. Cavusoglu représente le Groupe démocrate européen qui comprend aussi la plupart des députés russes. Avant l’ouverture de la session le chef de la délégation russe Konstantin Kossatchev a déclaré que Moscou soutenait cette candidature. D’après lui, M. Cavusoglu a la réputation d’un homme politique compétent et responsable, qui se prononce avec esprit de suite pour une Europe sans clivages.
Pour la Russie l’élection du parlementaire turc au poste de président de l’APCE est un moment positif. Cet avis est de même partagé par l’experte à la chaire de politologie du MGIMO Elena Ponomareva.
Le rôle de la Russie en Europe est à bien des égards déterminé par ce comment elle fait connaître sa position politique à la direction des Etats européens moyennant l’APCE. Le nouveau leader de l’organisation représente la Turquie, et cela est un moment positif pour nous. Cela parce que les rapports entre la Russie et la Turquie se développent très activement ces temps-ci, notamment, dans les sphères économique, politique, militaire et humanitaire. En conséquence, les acquis des relations bilatérales rendront certainement un bon service sur le plan de l’intégration européenne, comme sur celui de promotion de l’image positif de notre pays en Europe.
Les déclarations, faites par M. Cavusoglu à son nouveau poste, du moins ne démentent pas l’opinion des experts russes. A sa première conférence de presse il a noté qu’en tant que président de l’APCE il avait l’intention de « tout faire pour établir le dialogue entre la Russie et la Géorgie ». Nous rappelons qu’après le conflit en Ossétie du Sud en 2008 l’Assemblée n’a pas soutenu la proposition de certains parlementaires de priver la délégation russe du droit de vote à cause des événements d’août. Il est vrai que l’APCE a dû revenir sur cette question à plusieurs reprises, sur l’insistance des délégués géorgiens, mais avec le même résultat. Mevlut Cavusoglu a relevé à la conférence de presse que la Russie était l’un des plus importants membres de l’APCE. Il a ajouté qu’il s’opposait à une révision des pouvoirs de la délégation russe : le principal c’est de mener le dialogue ».
Le rôle de la Russie en Europe est à bien des égards déterminé par ce comment elle fait connaître sa position politique à la direction des Etats européens moyennant l’APCE. Le nouveau leader de l’organisation représente la Turquie, et cela est un moment positif pour nous. Cela parce que les rapports entre la Russie et la Turquie se développent très activement ces temps-ci, notamment, dans les sphères économique, politique, militaire et humanitaire. En conséquence, les acquis des relations bilatérales rendront certainement un bon service sur le plan de l’intégration européenne, comme sur celui de promotion de l’image positif de notre pays en Europe.
Les déclarations, faites par M. Cavusoglu à son nouveau poste, du moins ne démentent pas l’opinion des experts russes. A sa première conférence de presse il a noté qu’en tant que président de l’APCE il avait l’intention de « tout faire pour établir le dialogue entre la Russie et la Géorgie ». Nous rappelons qu’après le conflit en Ossétie du Sud en 2008 l’Assemblée n’a pas soutenu la proposition de certains parlementaires de priver la délégation russe du droit de vote à cause des événements d’août. Il est vrai que l’APCE a dû revenir sur cette question à plusieurs reprises, sur l’insistance des délégués géorgiens, mais avec le même résultat. Mevlut Cavusoglu a relevé à la conférence de presse que la Russie était l’un des plus importants membres de l’APCE. Il a ajouté qu’il s’opposait à une révision des pouvoirs de la délégation russe : le principal c’est de mener le dialogue ».
