’Association du business européen dans la Fédération de Russie est une sorte de rempart des milieux d’affaires de plusieurs pays de l’UE et d’autres regions. Cette institution non guvernementale qui célèbrera cette année le 15ème aniversaire de sa fondation regroupe plus de 600 compagnies étrangères détenant, notamment, le leadership dans divers secteurs de l’économie russe. L’Association du business européen a pour but de promouvoir la coopération entre les milieux d’affaires russes et européens, de prêter concours au climat commercial et d’investissements en Russie. L’Association oeuvre pour créer une image positive de la Russie à l’étranger, pour assurer l’afflux des investisseurs étrangers. L’Association est une institution jouissant d’une grande autorité au sein des structures au pouvoir à Bruxelles et à Moscou. Notre correspondant Igor Yazon s’est entretenu avec le directeur général de l’Association Frank Schauff, docteur en philosophie, sur les résultats enregistrés en 2009 et les projets pour 2010. Dr Schauff a fait ses études à l’Université de Vologda et parle, en plus de l’allemand, russe et six autres langues …
Qu’attendez-vous du nouvel an ?
Nous sommes optimistes. 2009 a été une année compliquée pour tout le monde : pour les fournisseurs russes et étrangers, notamment européens. Cependant, nous sommes fondés de constater des progrès. Les indices économiques s’améliorent et, à mon avis, ce processus concernera prochainement la Russie. Les prix du pétrole et du gaz montent au marché mondial et la production se développe de plus en plus dynamiquement en Occident. J’estime que la situation s’améliorera en 2010.
S.P. Vous avez constaté la montée des prix des supports d’énergie. Cependant, la Russie doit enfin se débarrasser du dopage pétrolier et gazier. Sinon, la Russie ne saura pas moderniser son économie ni la production. L’Association du business européen, parviendra-t-elle à jouer son rôle dans la réalisation de cet objectif ?
Qu’attendez-vous du nouvel an ?
Nous sommes optimistes. 2009 a été une année compliquée pour tout le monde : pour les fournisseurs russes et étrangers, notamment européens. Cependant, nous sommes fondés de constater des progrès. Les indices économiques s’améliorent et, à mon avis, ce processus concernera prochainement la Russie. Les prix du pétrole et du gaz montent au marché mondial et la production se développe de plus en plus dynamiquement en Occident. J’estime que la situation s’améliorera en 2010.
S.P. Vous avez constaté la montée des prix des supports d’énergie. Cependant, la Russie doit enfin se débarrasser du dopage pétrolier et gazier. Sinon, la Russie ne saura pas moderniser son économie ni la production. L’Association du business européen, parviendra-t-elle à jouer son rôle dans la réalisation de cet objectif ?
Je pense pour ainsi dire, répond Frank Schauff, que la Russie et l’économie russe sont à même d’engager la modernisaiton à condition d’élaborer une stratégie supposant la coopération avec les fournisseurs étrangers. Je ne suis pas sûr que tous les politiciens et économistes russes prennent conscience de la nécessité d’une telle stratégie. Il est nécessaire d’intensifier la coopération et notre Association déploie les efforts dans ce domaine, en particulier en Europe. L’Europe ne foit pas oublier que la modernisation de l’économie russe contribuera à l’essor économique et, par conséquent à la stabilité dans la société russe ce qui a une grande importance pour les partenaires européens de la Russie, la modernisation offrant de nouvelles possibilités au business au marché russe.
Les autorités russes, prêtent-elles attention à vos recommandations ?
Nous déployons nos efforts ici non pas pour donner des recommandations. Nous donnons des conseils en cas des problèmes s’il est possible d’améliorer la tactique, répond Dr Schauff. Le rôle du gouvernement russe est l’affaire de l’Etat, c’est à lui de déterminer les règles du jeu. Il convient de noter que si sa stratégie est aujourd’hui fondée sur la modernisation, la coopération en est l’un des instruments. Nous devons toujours être prêts à coopérer et nous sommes ouverts à un dialogue constructif avec les autorités russes. Nous espérons le poursuivre en 2010. Notre Association représente ici les entrepreneurs étrangers, réunit les grands joueurs européens, américains et nippons au marché russe. Ils adoptent une attitude sérieuse envers le marché russe, font des investissements, paient les impôts, créent de nouveaux emplois. Ils jouent, par exemple, un rôle très important dans l’industrie automobile, se montrent actifs dans la production des denrées alimentaires, etc. Notre Association regroupant des centaines de compagnies parvient à consolider leur opinion et à s’entretenir, notamment avec le gouvernement russe à partir des positions communes. En ce qui concerne notre optimisme, il s’appuie sur un fondement solide. Les résultats de notre coopération en 2010 démontreront s’il est en fait bien fondé.
C’était une interview recueillie par notre correspondant Igor Yazon auprès du Dr Frank Schaouff, directeur général de l’Association du business européen
Les autorités russes, prêtent-elles attention à vos recommandations ?
Nous déployons nos efforts ici non pas pour donner des recommandations. Nous donnons des conseils en cas des problèmes s’il est possible d’améliorer la tactique, répond Dr Schauff. Le rôle du gouvernement russe est l’affaire de l’Etat, c’est à lui de déterminer les règles du jeu. Il convient de noter que si sa stratégie est aujourd’hui fondée sur la modernisation, la coopération en est l’un des instruments. Nous devons toujours être prêts à coopérer et nous sommes ouverts à un dialogue constructif avec les autorités russes. Nous espérons le poursuivre en 2010. Notre Association représente ici les entrepreneurs étrangers, réunit les grands joueurs européens, américains et nippons au marché russe. Ils adoptent une attitude sérieuse envers le marché russe, font des investissements, paient les impôts, créent de nouveaux emplois. Ils jouent, par exemple, un rôle très important dans l’industrie automobile, se montrent actifs dans la production des denrées alimentaires, etc. Notre Association regroupant des centaines de compagnies parvient à consolider leur opinion et à s’entretenir, notamment avec le gouvernement russe à partir des positions communes. En ce qui concerne notre optimisme, il s’appuie sur un fondement solide. Les résultats de notre coopération en 2010 démontreront s’il est en fait bien fondé.
C’était une interview recueillie par notre correspondant Igor Yazon auprès du Dr Frank Schaouff, directeur général de l’Association du business européen