Plus un mot sur la politique en Ukraine à la veille des présidentielles. Toute propagande politique est interdite samedi décrété « journée du silence » et les affiches avec les portraits et les slogans des principaux protagonistes ont été retirés des rues des villes. Même les optimistes à tout crin disent que le nouveau président d’Ukraine ne sera élu qu’au second tour du scrutin.
Dans les médias ukrainiens c’est le silence sur toute la ligne. Les actualités télévisées ne mentionnent même pas les présidentielles prévues pour ce dimanche. Les observateurs internationaux sont déjà à leurs postes de travail. Cette année ils seront plus de 3000 pour représenter les différentes missions étrangères, la Russie, la CEI, le Parlement européen, l’OSCE et l’OTAN. Lee gros du travail tombe le 17 janviers, lorsque plus de 36 millions d’Ukrainiens, c’est le nombre d’électeurs figurant sur les listes, irons aux urnes. Les observateurs devront user de leur autorité pour essayer de prévenir les violations délibérées des droits des électeurs et les fraudes en masse. C’est une tâche ardue compte tenu de la spécificité du paysage politique ukrainien. Par exemple, au tout dernier moment près de 2% des électeurs ont exprimé le désir de voter chez eux. Selon Alexei Kotchetkov qui dirige le mission d’observateurs internationaux CIS EMO, ce genre de vote à domicile suscite une grande préoccupation par ses résultats pourraient être trafiqués.
« On parle beaucoup du vote à domicile, c’est pourquoi nous tenons à vérifier le bien-fondé des accusations portées par l’une des parties, a noté M. Kotchetkov. – En fait, la solution existe. Les électeurs qui souhaitent voter chez eux ont déposé les demandes en ce sens. Il suffit de les compter dans les commissions électorales territoriales pour les comparer ensuite aux chiffres officiels. Nous avons commencé à vérifier les listes et tour sera clair vers la mi-journée de demain. En revanche, les fraudes sont possibles là ou les bureaux de vote sont mal préparés et ce sont des choses qui arrivent. Dans ce cas les gens pourraient se bousculer devant les urnes et on peut profiter de cette situation pour introduire des bulletins excédentaires ».
En outre, le réseau européen d’observateurs (ENEMO) est préoccupé par l’absence de règles précises dans les bureaux de votre à l’étranger, « ce qui ouvre la voie à tous les abus », — déclare le chef de cette mission Taksyn Rakhimbek. C’est pour cette raison que l’ENEMO a décidé d’être présente dans ces bureaux.
Dans les médias ukrainiens c’est le silence sur toute la ligne. Les actualités télévisées ne mentionnent même pas les présidentielles prévues pour ce dimanche. Les observateurs internationaux sont déjà à leurs postes de travail. Cette année ils seront plus de 3000 pour représenter les différentes missions étrangères, la Russie, la CEI, le Parlement européen, l’OSCE et l’OTAN. Lee gros du travail tombe le 17 janviers, lorsque plus de 36 millions d’Ukrainiens, c’est le nombre d’électeurs figurant sur les listes, irons aux urnes. Les observateurs devront user de leur autorité pour essayer de prévenir les violations délibérées des droits des électeurs et les fraudes en masse. C’est une tâche ardue compte tenu de la spécificité du paysage politique ukrainien. Par exemple, au tout dernier moment près de 2% des électeurs ont exprimé le désir de voter chez eux. Selon Alexei Kotchetkov qui dirige le mission d’observateurs internationaux CIS EMO, ce genre de vote à domicile suscite une grande préoccupation par ses résultats pourraient être trafiqués.
« On parle beaucoup du vote à domicile, c’est pourquoi nous tenons à vérifier le bien-fondé des accusations portées par l’une des parties, a noté M. Kotchetkov. – En fait, la solution existe. Les électeurs qui souhaitent voter chez eux ont déposé les demandes en ce sens. Il suffit de les compter dans les commissions électorales territoriales pour les comparer ensuite aux chiffres officiels. Nous avons commencé à vérifier les listes et tour sera clair vers la mi-journée de demain. En revanche, les fraudes sont possibles là ou les bureaux de vote sont mal préparés et ce sont des choses qui arrivent. Dans ce cas les gens pourraient se bousculer devant les urnes et on peut profiter de cette situation pour introduire des bulletins excédentaires ».
En outre, le réseau européen d’observateurs (ENEMO) est préoccupé par l’absence de règles précises dans les bureaux de votre à l’étranger, « ce qui ouvre la voie à tous les abus », — déclare le chef de cette mission Taksyn Rakhimbek. C’est pour cette raison que l’ENEMO a décidé d’être présente dans ces bureaux.
Pour ce qui des observateurs russes, on aura également sur place une délégation de la Douma composée de neuf personnes. Elles ont pour mission de contrôler le déroulement du scrutin dans les bureaux de vote de Kiev. Donetsk, Odessa et Simferopol.
