Selon l’attaché de presse du Premier ministre de la Biélorussie Alexander Timochenko, Moscou et Minsk n’ont pas trouvé un compromis dans la question concernant les conditions de la livraison du pétrole en Biélorussie, mais ils sont prêts à poursuivre les négociations.
La Russie n’arrête pas le transit du pétrole par le territoire de la Biélorussie en Europe aussi bien que les livraisons aux raffineries biélorusses de pétrole.
Moscou propose de livrer en Biélorussie 6,3 millions de tonnes par an sans taxe pour l’usage à l’intérieur du pays. C’est le président Dmitri Medvedev qui a déposé cette proposition qui peut subventionner l’économie de la Biélorussie de 1,8 milliards de dollars par an. Ce chiffre peut augmenter parce que le prix du pétrole augmente.
La Russie n’arrête pas le transit du pétrole par le territoire de la Biélorussie en Europe aussi bien que les livraisons aux raffineries biélorusses de pétrole.
Moscou propose de livrer en Biélorussie 6,3 millions de tonnes par an sans taxe pour l’usage à l’intérieur du pays. C’est le président Dmitri Medvedev qui a déposé cette proposition qui peut subventionner l’économie de la Biélorussie de 1,8 milliards de dollars par an. Ce chiffre peut augmenter parce que le prix du pétrole augmente.
Pourtant la Biélorussie veut cinq fois plus, elle déclare que sinon la Russie devra payer pour le transit d’une tonne du pétrole 45 dollars au lieu de 4 qu’elle paie aujourd’hui. L’initiative de la Russie ne satisfait pas Minsk à cause de ce qu’il a beaucoup d’intermédiaires qui gagnent sur le raffinage du pétrole russe et l’exportation des produits pétroliers dans les pays voisins. Kyrill Tanaev, directeur général du Fond de la politique efficace commente cette situation.
Les dernières années la Russie soulevait la question sur ce qu’une partie des revenus de cette activité doit être compensée à la Russie. De l’autre côté, il est clair que dans les conditions de la nouvelle réalité économique, de l’Union douanière un déséquilibre apparaît entre les entreprises biélorusses et russes. Parce que si l’on accepte les conditions que Minsk propose, le producteur russe va perdre, parce qu’il ne peut pas produire l’essence moins chère qu’en Biélorussie. C’est la cause des négociations difficiles.
Selon l’un des experts russes dans le domaine pétrolier, si la Biélorussie traîne encore les pourparlers elle risque de perdre les franchises proposées par la Russie.
Les dernières années la Russie soulevait la question sur ce qu’une partie des revenus de cette activité doit être compensée à la Russie. De l’autre côté, il est clair que dans les conditions de la nouvelle réalité économique, de l’Union douanière un déséquilibre apparaît entre les entreprises biélorusses et russes. Parce que si l’on accepte les conditions que Minsk propose, le producteur russe va perdre, parce qu’il ne peut pas produire l’essence moins chère qu’en Biélorussie. C’est la cause des négociations difficiles.
Selon l’un des experts russes dans le domaine pétrolier, si la Biélorussie traîne encore les pourparlers elle risque de perdre les franchises proposées par la Russie.
