En Pologne on va juger un russe qui est soupçonné d’avoir espionné pour la Russie. Le service de renseignements l’a arrêté encore en février dernier. On ne connaît pas le nom du suspect, et l’instruction de cette affaire est rendue secrète.
Selon le journal polonais « Dziennik gazeta Prawna », l’homme arrêté a vécu légalement en Pologne pendant 10 ans, il parlait très bien polonais et avait son propre business. Mais c’était sa couverture, parce qu’il espionnait pour la Russie. Le service de renseignement l’a conclu après avoir trouvé chez lui des appareils pour le chiffrage des messages. Mais ils n’ont rien présenté au publique. Selon le journal, l’homme arrêté était étranger sans statut diplomatique, les représentants de l’ambassade de la Russie à Varsovie ne savaient pas qu’il existait. Cet homme était en communication directe avec le centre d’où il recevait des ordres. Le scandale d’espionnage dont les Médias parlent d’une façon si pittoresque n’est pas commenté par les autorités.
L’annonce du scandale qui a eu lieu un an après est faite dans les meilleures traditions de la propagande antirusse. Selon l’article « les services secrets russes ne vont pas réduire leur activité en Angleterre, en Ukraine, en Estonie et en Géorgie ». C’est une vraie provocation. Parce que c’est dans ces pays l’élite dirigeante n’aime pas beaucoup la Russie. Voici l’opinion d’Alexandre Treschev, le représentant de la Chambre Européenne d’avocat en Russie :
«Dans cette situation il y a plus de sans politique que juridique. Les polonais n’arrivent pas très souvent à procéder à une enquête et à prouver quelque chose. Les polonais sont les maîtres des déclarations politiques mais pas d’un dialogue constructif. Une vraie bataille politique se déroule en Pologne entre le président et le premier ministre et ils prêtent plus souvent attention à leurs voisins pour essayer de régler de cette façon leurs propres débats».
Selon le journal polonais « Dziennik gazeta Prawna », l’homme arrêté a vécu légalement en Pologne pendant 10 ans, il parlait très bien polonais et avait son propre business. Mais c’était sa couverture, parce qu’il espionnait pour la Russie. Le service de renseignement l’a conclu après avoir trouvé chez lui des appareils pour le chiffrage des messages. Mais ils n’ont rien présenté au publique. Selon le journal, l’homme arrêté était étranger sans statut diplomatique, les représentants de l’ambassade de la Russie à Varsovie ne savaient pas qu’il existait. Cet homme était en communication directe avec le centre d’où il recevait des ordres. Le scandale d’espionnage dont les Médias parlent d’une façon si pittoresque n’est pas commenté par les autorités.
L’annonce du scandale qui a eu lieu un an après est faite dans les meilleures traditions de la propagande antirusse. Selon l’article « les services secrets russes ne vont pas réduire leur activité en Angleterre, en Ukraine, en Estonie et en Géorgie ». C’est une vraie provocation. Parce que c’est dans ces pays l’élite dirigeante n’aime pas beaucoup la Russie. Voici l’opinion d’Alexandre Treschev, le représentant de la Chambre Européenne d’avocat en Russie :
«Dans cette situation il y a plus de sans politique que juridique. Les polonais n’arrivent pas très souvent à procéder à une enquête et à prouver quelque chose. Les polonais sont les maîtres des déclarations politiques mais pas d’un dialogue constructif. Une vraie bataille politique se déroule en Pologne entre le président et le premier ministre et ils prêtent plus souvent attention à leurs voisins pour essayer de régler de cette façon leurs propres débats».
Dans les relations internationales de la Russie et la Pologne on remarque un dynamisme positif. Beaucoup de choses sont faites dans les domaines de la coopération économique. Une telle perspective du développement des relations amicales entre les pays voisins, ne provoque pas une réaction synonyme de la part des autres pays.