L'Allemagne n'empêchera pas l'adhésion de la Turquie à l'UE, mais elle insistera sur la tenue des réformes, a annoncé jeudi à Ankara le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle. Les négociations sur l'intégration de la Turquie dans l'Union Européenne ont été entamées en 2005. D'après les pronostics des experts, la Turquie pourrait devenir membre de l'UE d'ici 10-15 ans.
Les chefs de plusieurs Etats membres de l'UE, de la France et de l'Allemagne, entre autres, se sont exprimés plusieurs fois contre l'intégration de la Turquie. En revanche, ils proposent à Ankara le statut de partenaire privilégié. Ankara rejette cette concession et insiste sur son entrée dans l'Union.
Le chef de la diplomatie allemande a appelé la Turquie à régler le problème chypriote, ainsi qu'à accomplir ses engagements de respecter les libertés religieuses, les droits de l'homme et la liberté des médias.
"Le respect des critères de Copenhague est la condition principale de l'adhésion", a indiqué le ministre allemand.
Les chefs de plusieurs Etats membres de l'UE, de la France et de l'Allemagne, entre autres, se sont exprimés plusieurs fois contre l'intégration de la Turquie. En revanche, ils proposent à Ankara le statut de partenaire privilégié. Ankara rejette cette concession et insiste sur son entrée dans l'Union.
Le chef de la diplomatie allemande a appelé la Turquie à régler le problème chypriote, ainsi qu'à accomplir ses engagements de respecter les libertés religieuses, les droits de l'homme et la liberté des médias.
"Le respect des critères de Copenhague est la condition principale de l'adhésion", a indiqué le ministre allemand.