Washington sonne à nouveau l’alarme. En plus de menacer les Etats-Unis, un conflit armé entre le gouvernement central et les mutins au Yémen ainsi que les activités d’Al-Qaïda mettent en cause la stabilité régionale et globale, a déclaré la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton.
La menace à la sécurité de plusieurs pays occidentaux émanant du Yémen est à l’ordre du jour après l’incident à bord d’un avion ayant effectué un vol d’Amsterdam à Detroit. Un Nigérian a essayé de mettre en marche un explosif mais les passagers et les membres de l’équipage ont neutralisé le malfaiteur arrêté par la suite par le FBI. Il a été établi que le terroriste a été instruit dans un camp d’Al-Qaïda au Yémen.
Le danger terroriste émanant de ce pays arabe est débattu ces derniers temps au niveau politique. Le Secrétaire général de l’ONU Ban Ke Moon s’est montré préoccupé par les activités d’Al-Qaïda au Yémen ayant soutenu l’idée du premier ministre britannique Gordon Brown de convoquer le 28 janvier à Londres une conférence sur la lutte contre le terrorisme dans ce pays. Selon les experts occidentaux en vue, le Yémen est devenu le troisième rempart mondial d’Al-Qaïda après l’Afghanistan et le Pakistan.
Les autorités yéménites ont annoncé lundi la destruction de deux commandos d’Al-Qaïda ayant inspiré les attentats contre les ambassades des pays occidentaux. Plusieurs représentations diplomatiques ont même suspendu provisoirement leurs activités à Sana, capitale du pays. Selon certains experts, la menace terroriste émanant d’Al-Qaïda au Yémen est exagérée. L’orientaliste Youri Kroupnov a dit, en particulier :
La menace à la sécurité de plusieurs pays occidentaux émanant du Yémen est à l’ordre du jour après l’incident à bord d’un avion ayant effectué un vol d’Amsterdam à Detroit. Un Nigérian a essayé de mettre en marche un explosif mais les passagers et les membres de l’équipage ont neutralisé le malfaiteur arrêté par la suite par le FBI. Il a été établi que le terroriste a été instruit dans un camp d’Al-Qaïda au Yémen.
Le danger terroriste émanant de ce pays arabe est débattu ces derniers temps au niveau politique. Le Secrétaire général de l’ONU Ban Ke Moon s’est montré préoccupé par les activités d’Al-Qaïda au Yémen ayant soutenu l’idée du premier ministre britannique Gordon Brown de convoquer le 28 janvier à Londres une conférence sur la lutte contre le terrorisme dans ce pays. Selon les experts occidentaux en vue, le Yémen est devenu le troisième rempart mondial d’Al-Qaïda après l’Afghanistan et le Pakistan.
Les autorités yéménites ont annoncé lundi la destruction de deux commandos d’Al-Qaïda ayant inspiré les attentats contre les ambassades des pays occidentaux. Plusieurs représentations diplomatiques ont même suspendu provisoirement leurs activités à Sana, capitale du pays. Selon certains experts, la menace terroriste émanant d’Al-Qaïda au Yémen est exagérée. L’orientaliste Youri Kroupnov a dit, en particulier :
Il ne faut pas oublier que le réseau d’Al-Qaïda n’a pas de centre. Il a été officiellement indiqué au début de l’opération « Liberté indestructible » en octobre 2001 en Afghanistan après les événements du 11 septembre, en premier lieu aux Etats-Unis, que plus de 80 cellules d’Al-Qaïda étaient dispersés dans le monde. Il n’y a donc rien d’étonnant qu’une telle cellule déploie ses activités au Yémen. Les cellules du réseau existent même dans les pays du G7. Une question s’impose : Al-Qaïda, menace-t-il en fait la communauté mondiale et combien adéquates sont les mesures auxquelles Washington invite le gouvernement yéménite. Malheureusement, le scénario est toujours le même : n’ayant pas su réprimer Al-Qaïda en Afghanistan et au Pakistan, les Américains se mettent à étouffer le conflit dans un autre pays.