Selon des informations officielles, le nouveau Traité sur les armements stratégiques offensifs entre la Russie et les Etats-Unis est pratiquement prêt à la signature. Or plusieurs hommes politiques américains, considèrent que les pourparlers en cours peuvent prendre encore quelques mois. Notamment, certains détails du mécanisme de contrôle ne satisfont pas la Maison Blanche.
De l’avis de la partie russe, par exemple, le point, lié à l’observation 24 heures sur 24 des inspecteurs américains dans l’usine de Votkinsk, produisant des missiles stratégiques, ne pouvait pas être inclus dans le texte du nouveau Traité sur les armements offensifs. Cela parce que les observateurs militaires russes ont quitté il y a déjà huit ans une usine analogue dans l’Etat américain de l’Utah. Washington craint, toutefois, que Moscou n’obtienne une série d’avantages unilatéraux. Ainsi, la Russie est en train de parfaire son lance-engin « Topol-M » pour le nouveau missile RS-24, l’une des principales composantes de sa doctrine stratégique militaire. Mais l’on ne doit pas oublier que lorsqu’on élaborait le précédent Traité les Etats-Unis avait un atout considérable, en achevant la conception du sous-marin de nouvelle génération, embarquant des engins nucléaires. Cette circonstance n’a pas alors empêché de signer le Traité. De l’avis de certains experts, il en sera, probablement, de même cette fois. Quant au nouveau mécanisme de contrôle, le Premier ministre de Russie Vladimir Poutine a noté que Moscou était prêt à informer sur les armements stratégiques offensifs en échange de l’information sur les plans dans la sphère de la défense anti-missile. Voici ce qu’a dit à la « Voix de la Russie » Igor Korottchenko, membre du conseil public auprès du ministère de la Défense de notre pays :
Il convient de noter que le Premier ministre de Russie a eu raison d’avancer la thèse concernant un lien inconditionnel entre les systèmes stratégiques offensifs et défensifs. A l’évidence elle doit être fixée dans le texte du nouveau Traité par les experts russes et américains. Cela afin qu’en établissant nos rapports avec notre principal partenaire politique et militaire, nous puissions regarder avec confiance l’avenir. Pour qu’aucune des parties ne possède des avantages unilatéraux.
De l’avis de la partie russe, par exemple, le point, lié à l’observation 24 heures sur 24 des inspecteurs américains dans l’usine de Votkinsk, produisant des missiles stratégiques, ne pouvait pas être inclus dans le texte du nouveau Traité sur les armements offensifs. Cela parce que les observateurs militaires russes ont quitté il y a déjà huit ans une usine analogue dans l’Etat américain de l’Utah. Washington craint, toutefois, que Moscou n’obtienne une série d’avantages unilatéraux. Ainsi, la Russie est en train de parfaire son lance-engin « Topol-M » pour le nouveau missile RS-24, l’une des principales composantes de sa doctrine stratégique militaire. Mais l’on ne doit pas oublier que lorsqu’on élaborait le précédent Traité les Etats-Unis avait un atout considérable, en achevant la conception du sous-marin de nouvelle génération, embarquant des engins nucléaires. Cette circonstance n’a pas alors empêché de signer le Traité. De l’avis de certains experts, il en sera, probablement, de même cette fois. Quant au nouveau mécanisme de contrôle, le Premier ministre de Russie Vladimir Poutine a noté que Moscou était prêt à informer sur les armements stratégiques offensifs en échange de l’information sur les plans dans la sphère de la défense anti-missile. Voici ce qu’a dit à la « Voix de la Russie » Igor Korottchenko, membre du conseil public auprès du ministère de la Défense de notre pays :
Il convient de noter que le Premier ministre de Russie a eu raison d’avancer la thèse concernant un lien inconditionnel entre les systèmes stratégiques offensifs et défensifs. A l’évidence elle doit être fixée dans le texte du nouveau Traité par les experts russes et américains. Cela afin qu’en établissant nos rapports avec notre principal partenaire politique et militaire, nous puissions regarder avec confiance l’avenir. Pour qu’aucune des parties ne possède des avantages unilatéraux.
Aujourd’hui on attend dans le monde entier la conclusion du nouveau Traité START russo-américain. Et plus vite il viendra, mieux ce sera. Si le Traité est signé dans les semaines qui viennent, la Russie et les Etats-Unis pourront, au regard des expert, y engager les autres puissances nucléaires. Et par la suite il sera possible de commencer à former des systèmes contemporains de monitorage de la branche atomique, afin d’éviter la création de nouveaux arsenaux nucléaires sur la planète.
