Les services spéciaux du Yémen et des États-Unis ont procédé à l’élaboration du plan d’une opération commune contre les combattants d’Al Qaïda qui se sont choisi pour sanctuaire cet État de la péninsule d’Arabie. David Petrus qui commande les forces américaines stationnées dans la région, est arrivé au Yémen pour discuter avec les dirigeants de ce pays des mesures destinés à combattre le terrorisme.
La décision d’intensifier la coopération antiterroriste avec le Yémen est intervenue après que le terroriste qui a tenté de faire exploser l’avion qui a décollé d’Amsterdam à destination de Detroit ait avoué avoir agi sur instruction de la branche yéménite d’Al Qaïda en ajoutant que d’autres combattant se préparaient à attaquer les avions occidentaux. Force est d’avouer que la communauté internationale soucieuse de combattre le terrorisme avait jusqu’ici négligé le Yémen en portant le gros de son effort sur l’Afghanistan et le Pakistan. Compte tenu des récents événements, les «États-Unis sont prêts à intensifier la lutte contre le terrorisme au Yémen mais le problème est que le pouvoir central est quasiment inexistant dans ce pays et que Washington ne peut agir que par la police locale interposée. Cela signifie qu’on aura le plus grand mal à démanteler l’organisation terroriste qui a élu domicile dans ce pays.
Les États-Unis et la Grande Bretagne qui s’est jointe à eux, déclarent qu’ils sont prêts à assurer l’entraînement et l’équipement des forces spéciales et des gardes-côtes yéménites qui contrôlent le Golfe d’Aden ou les pirates somaliens font la pluie et le beau temps malgré la présence d’une force navale de l’OTAN. Si les enclaves criminelles s’associent entre elles, le combat à mener sera d’autant plus difficile. La communauté internationale pourra discuter des possibilités de contrer cette menace le 28 janvier à Londres ou, parallèlement à la conférence internationale sur l’Afghanistan, on envisage de tenir une réunion consacrée au Yémen.
La décision d’intensifier la coopération antiterroriste avec le Yémen est intervenue après que le terroriste qui a tenté de faire exploser l’avion qui a décollé d’Amsterdam à destination de Detroit ait avoué avoir agi sur instruction de la branche yéménite d’Al Qaïda en ajoutant que d’autres combattant se préparaient à attaquer les avions occidentaux. Force est d’avouer que la communauté internationale soucieuse de combattre le terrorisme avait jusqu’ici négligé le Yémen en portant le gros de son effort sur l’Afghanistan et le Pakistan. Compte tenu des récents événements, les «États-Unis sont prêts à intensifier la lutte contre le terrorisme au Yémen mais le problème est que le pouvoir central est quasiment inexistant dans ce pays et que Washington ne peut agir que par la police locale interposée. Cela signifie qu’on aura le plus grand mal à démanteler l’organisation terroriste qui a élu domicile dans ce pays.
Les États-Unis et la Grande Bretagne qui s’est jointe à eux, déclarent qu’ils sont prêts à assurer l’entraînement et l’équipement des forces spéciales et des gardes-côtes yéménites qui contrôlent le Golfe d’Aden ou les pirates somaliens font la pluie et le beau temps malgré la présence d’une force navale de l’OTAN. Si les enclaves criminelles s’associent entre elles, le combat à mener sera d’autant plus difficile. La communauté internationale pourra discuter des possibilités de contrer cette menace le 28 janvier à Londres ou, parallèlement à la conférence internationale sur l’Afghanistan, on envisage de tenir une réunion consacrée au Yémen.