L’espace économique international a désormais un nouvel acteur influence. Un accord de libres échanges entre la Chine et l’ASEAN est entré en vigueur le premier janvier 2010.
La nouvelle associations régionale se situe dès maintenant comme le principal concurrent de l’UE et de la NAFTA nord-américaine. Elle regroupe un tiers de la population du globe et occupe la troisième place par ordre d’importance économique. Les experts admettent que d’ici quelques années les membres de cette union seraient capables d’améliorer considérablement leurs performances. N’oublions pas qu’il s’agit d’un premier conglomérat de ce genre regroupant exclusivement les pays en développement. La Chine dont l’économie avance à pas de géant occupe incontestablement la position de leader. Après avoir donné le feu vert aux processus d’intégration, les pays de la région ont des raisons de penser qu’elle leur viendra en aide pour la mise en œuvre de projets économiques. Dans ce contexte, le libre échange de marchandises, d’investissements et de services permettra aux acteurs de la nouvelle association de se spécialiser dans ce qu’ils savent faire le mieux pour devenir plus compétitifs dans leur ensemble.
A partir de cette année plus de 90% des biens et marchandises circulant entre la Chine et les six membres de l’ASEAN à savoir le Brunei, les Philippines, l’Indonésie, la Thaïlande et le Singapour ont supprimé les droits de douane. Les autres pays de l’ASEAN – le Vietnam, le Laos, le Cambodge et le Birmanie s’y joindront à partir de 2015. Les avantages des membres de cette zone de libre échange sont évidents. En effet, les prix de marchandises et de services seront plus bas, les consommateurs auront un plus grand choix de produits et les frais d’importation baisseront en conséquence. La coopération de la Chine et des pays de l’ASEAN avec leurs partenaires occidentaux traditionnels va sûrement continuer mais ils en seront en revanche beaucoup moins dépendants. C’est particulièrement important pour Pékin parce que les échanges ne pourront plus être utilisés par l’Occident comme instrument éventuel d’influence.
La nouvelle associations régionale se situe dès maintenant comme le principal concurrent de l’UE et de la NAFTA nord-américaine. Elle regroupe un tiers de la population du globe et occupe la troisième place par ordre d’importance économique. Les experts admettent que d’ici quelques années les membres de cette union seraient capables d’améliorer considérablement leurs performances. N’oublions pas qu’il s’agit d’un premier conglomérat de ce genre regroupant exclusivement les pays en développement. La Chine dont l’économie avance à pas de géant occupe incontestablement la position de leader. Après avoir donné le feu vert aux processus d’intégration, les pays de la région ont des raisons de penser qu’elle leur viendra en aide pour la mise en œuvre de projets économiques. Dans ce contexte, le libre échange de marchandises, d’investissements et de services permettra aux acteurs de la nouvelle association de se spécialiser dans ce qu’ils savent faire le mieux pour devenir plus compétitifs dans leur ensemble.
A partir de cette année plus de 90% des biens et marchandises circulant entre la Chine et les six membres de l’ASEAN à savoir le Brunei, les Philippines, l’Indonésie, la Thaïlande et le Singapour ont supprimé les droits de douane. Les autres pays de l’ASEAN – le Vietnam, le Laos, le Cambodge et le Birmanie s’y joindront à partir de 2015. Les avantages des membres de cette zone de libre échange sont évidents. En effet, les prix de marchandises et de services seront plus bas, les consommateurs auront un plus grand choix de produits et les frais d’importation baisseront en conséquence. La coopération de la Chine et des pays de l’ASEAN avec leurs partenaires occidentaux traditionnels va sûrement continuer mais ils en seront en revanche beaucoup moins dépendants. C’est particulièrement important pour Pékin parce que les échanges ne pourront plus être utilisés par l’Occident comme instrument éventuel d’influence.